J'adore cette saison! Les récoltes vont maintenant bon train et les marchés regorgent de produits frais et colorés.
Aujourd'hui, une visite imprévue au marché Jean-Talon où j'ai fait des achats disons....impulsifs. L'idée de départ était de faire un plat de pâte fraîches pour le souper... La plus jeune de mes filles vient de découvrir les champignons...En fait, jusqu'à tout récemment, toute trace de champignon était jugée suspecte et indigne de son attention...bref... elle boudait les champignons.... Qu'est-ce qui a provoqué le changement d'opinion... je n'en ai aucune idée, mais j'avoue que je suis bien contente.
Tout ça pour dire qu'il y a à Jean-Talon un commerçant de champignons sauvages qui a eu une visite aujourd'hui. Ma fille avait vu à la télé quelqu'un apprêter des chanterelles autrement connues sous l'appellation girolles.... Le prix un peu élevé (20$ pour 450 gr) a vite découragé ma fille, mais... une autre suggestion de ma part a regagné son entrain.... au lieu du gros contenant, un petit contenant de chanterelles, un autre de bolets noirs et un troisième d'une autre variété dont je ne me souviens plus du nom.... La semaine dernière ils avaient des "vesses de loup" magestueuses, mais pas cette semaine...dommage. En fait, chaque semaine pour ne pas dire chaque jour apporte sa part de surprise... les champignons sauvages, vous vous en doutez, ne sont pas cultivés donc, leur disponibilité dépend de la température et de l'habileté du cueilleur à les trouver.
A un autre kiosque, j'ai acheté des tiges de fleur d'ail, et encore ailleurs, des fleurs de zucchinis et des aubergines roses, puis ailleurs encore une autre variété de champignons (des kings oysters) enfin de la pancetta et des fettucini frais.
Ce soir, le souper était divin.... Tout d'abord, c'était un effort collectif... Ma fille s'est occupée de faire dorer la pancetta coupée en cubes, puis elle a fait sauter les 3 premières variétés de champignons pendant quelques minutes...et elle a amené à ébullition une grande marmite d'eau salée et a haché du basilic frais.
De mon côté, je me suis occupé des légumes grillés.... donc après avoir coupé les légumes en morceaux de la taille d'un doigt, je les ai assaisonnés de sel et de poivre et aspergé d'une bonne huile d'olive.... aubergines, zucchinis, tiges de fleur d'ail et King oysters. ensuite... place à l'opération grillade au Barbecue puisqu'il fait encore beau.
Quand tout a été grillé, il restait à faire cuire les fettucini... quelques minutes suffisent pour des pâtes fraîches... et l'assemblage...
Un peu d'huile d'olive au fond d'un grand bol, puis les pâtes, les légumes grillés, les légumes sautés, on mélange le tout on ajoute un peu d'huile au goût, on resale et repoivre au besoin et au moment de servir, un peu de Parmesan râpé.... divin!
Mais je parlais d'achats impulsifs.... j'ai acheté de fèves de cacao....Je n,ai aucune idée ce que je vais en faire... j'ai bien cherché un peu aujourd'hui, mais je n'ai pas eu grand succès... alors je fais appel à vous.... avez-vous une idée de ce que je pourrais faire avec des fèves de cacao?
Tuesday, 30 August 2011
Monday, 29 August 2011
Jehane et moi
Je vous ai dit que j'ai eu la piqûre pour la cuisine quand j'étais adolescente... En fait, probablement que l'infection s'est installée bien des années auparavant.... Laissez-moi vous raconter...
J'étais très jeune...en fait, c'est un peu avant que je fasse mon entrée à la maternelle, en 1963 pour être plus exact.... Lorsque ma mère allait faire son épicerie dans le maintenant défunt supermarché Steinberg, une promotion spéciale permettait aux "ménagères" (puisque c'est comme ça qu'on appelait à l'époque toutes les fantastiques Reines du Foyer qui travaillaient si fort pour être la parfaite mère, la parfaite épouse, la parfaite cuisinière, la parfaite.... bref, tout ce que la société voulait que les épouses au foyer soient) donc cette promotion permettait pour un coût minime de collectionner des fascicules à être assemblée dans un gros livre jaune brillant.... L'encyclopédie de la cuisine canadienne!
Je me souviens très bien lorsque ma mère rapportait la centaine de pages tout le cérémonial pour les insérer dans la si belle reliure... C'était un livre précieux et pour cause! A l'époque, on pouvait trouver pour les cuisinières le "livre de cuisine de Boston", le livre de "la cuisine Raisonnée", quelques publications gouvernementales, quelques publications des différentes meuneries, mais aucune n'avait l'envergure, tant dans son format que dans son contenu de cet ouvrage fabuleux. Pas surprenant qu'il se soit vendu à plus d'un million et demi d'exemplaires...et qu'il est toujours sur le marché!
Pendant combien de temps, madame Benoît a-t-elle travaillé pour produire cet ouvrage colossal? Je n'en ai aucune idée...mais chose certaine, après la publication de ce livre, la cuisine au Québec n'a plus jamais été la même!
J'étais toute petite, mais ce gros livre me fascinait. Je tirais une chaise pour réussir à rejoindre la tablette sur laquelle le précieux ouvrage était posée... et avec toute la force de mes 5 ans, je prenais le livre et le posait sur le bureau...Ensuite, je pouvais passer des heures à feuilleter les quelques 1152 pages pour voir les photos... celles en couleur étaient mes préférées.... Je ne savais pas lire, mais les images étaient parlantes... Et à chaque fois que ma mère voulait faire quelque chose de nouveau.... c'est dans cet ouvrage qu'elle puisait son inspiration.
Quand j'ai voulu vraiment me mettre à cuisiner... c'est souvent auprès de Jehane Benoît que j'allais apprendre.... bien sûr, quelques autres auteurs avaient suivi le mouvement, mais lorsque j'étais adolescente, la folie des publications culinaires n'avait pas encore vraiment pris son envol... Bien sûr, quelques noms s'étaient démarqués...Si Jeannette Bertrand m'a appris à faire une sauce hollandaise particulièrement féroce, c'est Jehane qui m'a enseigné les ficelles de mon "métier" de cuisinière-maison
En 1977, quand je suis partie étudier à l'Université, j'ai acheté le seul livre que je pensais essentiel à ma survie... et oui, ... La nouvelle encyclopédie de la cuisine.... une couverture plus tendance du moment, mais les mêmes recettes que dans le livre de ma mère.... Ce fut pour moi, le commencement d'une longue histoire d'amour avec les livres de recettes, qui se poursuit toujours.... et bien que les années passent, que les livres se multiplient dans ma bibliothèque, je reviens régulièrement visiter Jehane, comme on visite une vieille amie...
Aujourd'hui, j'écoutais une émission à la chaîne spécialisée Zeste.... pendant une des pauses publicitaires, on annonçait une émission à être présentée quelque part dans la semaine...Jehane et moi...
Le titre m'a fait sourire.... je me revoyais à 16 ans... le gros livre posé sur la table, lisant chaque mot, décodant le langage "spécialisé", retournant 100 fois au lexique pour être certaine d'avoir bien compris la méthode...et ensuite, derrière le four à confectionner la recette choisie....
Je suis bien contente que quelqu'un à la télé remette à l'honneur les recettes de cette grande dame du monde culinaire qui a inspiré des générations de cuisinières, vos mères, vos grands-mères peut-être....et qui continue de le faire....Probablement par nostalgie, mais aussi parce que je sais que presque toutes les réponses se trouvent dans ses pages... j'ai donné à chacun de mes enfants un exemplaire de l'Encyclopédie de la cuisine canadienne en espérant que Jehane soit pour eux une aussi bonne compagne de route qu'elle l'est pour moi!
Bien que disponible encore dans les librairies, je vous suggère de visiter les bazars, le ventes de garage, les boutiques de livres usagés.... vous trouverez là, avec un peu de chance, un ou plusieurs exemplairesen excellent état ou avec un peu de vécu.... à un prix dérisoire....Vous verrez que les quelques dollars que vous investirez dans votre achat en vaudront vraiment la peine!
J'étais très jeune...en fait, c'est un peu avant que je fasse mon entrée à la maternelle, en 1963 pour être plus exact.... Lorsque ma mère allait faire son épicerie dans le maintenant défunt supermarché Steinberg, une promotion spéciale permettait aux "ménagères" (puisque c'est comme ça qu'on appelait à l'époque toutes les fantastiques Reines du Foyer qui travaillaient si fort pour être la parfaite mère, la parfaite épouse, la parfaite cuisinière, la parfaite.... bref, tout ce que la société voulait que les épouses au foyer soient) donc cette promotion permettait pour un coût minime de collectionner des fascicules à être assemblée dans un gros livre jaune brillant.... L'encyclopédie de la cuisine canadienne!
Je me souviens très bien lorsque ma mère rapportait la centaine de pages tout le cérémonial pour les insérer dans la si belle reliure... C'était un livre précieux et pour cause! A l'époque, on pouvait trouver pour les cuisinières le "livre de cuisine de Boston", le livre de "la cuisine Raisonnée", quelques publications gouvernementales, quelques publications des différentes meuneries, mais aucune n'avait l'envergure, tant dans son format que dans son contenu de cet ouvrage fabuleux. Pas surprenant qu'il se soit vendu à plus d'un million et demi d'exemplaires...et qu'il est toujours sur le marché!
Pendant combien de temps, madame Benoît a-t-elle travaillé pour produire cet ouvrage colossal? Je n'en ai aucune idée...mais chose certaine, après la publication de ce livre, la cuisine au Québec n'a plus jamais été la même!
J'étais toute petite, mais ce gros livre me fascinait. Je tirais une chaise pour réussir à rejoindre la tablette sur laquelle le précieux ouvrage était posée... et avec toute la force de mes 5 ans, je prenais le livre et le posait sur le bureau...Ensuite, je pouvais passer des heures à feuilleter les quelques 1152 pages pour voir les photos... celles en couleur étaient mes préférées.... Je ne savais pas lire, mais les images étaient parlantes... Et à chaque fois que ma mère voulait faire quelque chose de nouveau.... c'est dans cet ouvrage qu'elle puisait son inspiration.
Quand j'ai voulu vraiment me mettre à cuisiner... c'est souvent auprès de Jehane Benoît que j'allais apprendre.... bien sûr, quelques autres auteurs avaient suivi le mouvement, mais lorsque j'étais adolescente, la folie des publications culinaires n'avait pas encore vraiment pris son envol... Bien sûr, quelques noms s'étaient démarqués...Si Jeannette Bertrand m'a appris à faire une sauce hollandaise particulièrement féroce, c'est Jehane qui m'a enseigné les ficelles de mon "métier" de cuisinière-maison
En 1977, quand je suis partie étudier à l'Université, j'ai acheté le seul livre que je pensais essentiel à ma survie... et oui, ... La nouvelle encyclopédie de la cuisine.... une couverture plus tendance du moment, mais les mêmes recettes que dans le livre de ma mère.... Ce fut pour moi, le commencement d'une longue histoire d'amour avec les livres de recettes, qui se poursuit toujours.... et bien que les années passent, que les livres se multiplient dans ma bibliothèque, je reviens régulièrement visiter Jehane, comme on visite une vieille amie...
Aujourd'hui, j'écoutais une émission à la chaîne spécialisée Zeste.... pendant une des pauses publicitaires, on annonçait une émission à être présentée quelque part dans la semaine...Jehane et moi...
Le titre m'a fait sourire.... je me revoyais à 16 ans... le gros livre posé sur la table, lisant chaque mot, décodant le langage "spécialisé", retournant 100 fois au lexique pour être certaine d'avoir bien compris la méthode...et ensuite, derrière le four à confectionner la recette choisie....
Je suis bien contente que quelqu'un à la télé remette à l'honneur les recettes de cette grande dame du monde culinaire qui a inspiré des générations de cuisinières, vos mères, vos grands-mères peut-être....et qui continue de le faire....Probablement par nostalgie, mais aussi parce que je sais que presque toutes les réponses se trouvent dans ses pages... j'ai donné à chacun de mes enfants un exemplaire de l'Encyclopédie de la cuisine canadienne en espérant que Jehane soit pour eux une aussi bonne compagne de route qu'elle l'est pour moi!
Bien que disponible encore dans les librairies, je vous suggère de visiter les bazars, le ventes de garage, les boutiques de livres usagés.... vous trouverez là, avec un peu de chance, un ou plusieurs exemplairesen excellent état ou avec un peu de vécu.... à un prix dérisoire....Vous verrez que les quelques dollars que vous investirez dans votre achat en vaudront vraiment la peine!
Sunday, 28 August 2011
De retour au clavier!
Après vous avoir négligé quelques jours, je reviens vous entretenir de mon passe-temps préféré...la cuisine!
J'ai plusieurs sujets dont je veux vous entretenir alors, sans plus de préambules.....
J'ai eu à voyager à Québec la semaine dernière, question d'aller passer quelques jours avec ma petite maman d'amour... Je suis partie en autobus donc, j'ai apporté de la lecture question de tuer le temps un peu. Le matin du départ, j'étais allée à la banque (la caisse populaire en fait!), question d'avoir ce qu'il faut pour payer le billet d'autobus et un peu d'argent de poche en surplus... Depuis aussi loin que je me rappelle, la caisse a toujours été dépositaire de la brochure RND (anciennement connue sous le nom Revue Notre-Dame). Elle a bien changé cette petite brochure à travers les âges. si le format est toujours le même, le contenu lui, est passé de réflexion religio-économiques à socio-économique. Toute une différence..... Ce mois-ci, la page couverture titre "Fous de la cuisine!" Il n'en fallait pas plus pour que je consacre mon périple Montréal-Québec à la lecture de ce petit bijou!
Une fois passée par les sujets d'actualités comme le vouvoiement obligatoire et légiféré à l'école pour parait-il ramener le respect des élèves envers le professeur (mesure que je trouve abhérante dans sa justification considérant qu'en anglais on utilise indifféremment le YOU depuis toujours sans distinction de tu ou vous.... si on suit cette logique, faudrait-il inventer un nouveau pronom anglais pour l'un ou l'autre, question de trouver celui qui marquerait le respect???? Je ne crois pas que le respect tienne à un pronom mais bien à la relation établie entre le prof et les élèves... Je parle en connaissance de cause, J'ai enseigné pendant plusieurs années à des groupes d'enfants de tous âges... Je rencontre aujourd'hui ces mêmes enfants, maintenant jeunes adultes, et ils me saluent encore avec le sourire, contents de me raconter ce qu'ils deviennent.... je leur ai toujours dit que l'usage du vous me donnait des cheveux blancs alors c'était interdit de me vouvoyer! Jamais, et je le répète, jamais qui que ce soit ne m'a manqué de respect. Je n'étais pas l'amie, j'étais le professeur et c'était clair pour tout le monde...Bon, je m'écarte du sujet principal, je m'excuse)
Donc, après le vouvoiement et un article fort intéressant sur un hôpital pour oiseaux de proie, le dossier en 3 temps sur les tendances cusines tenant plus du voyeurisme que de la vraie cuisine. Je vous cite le premier paragraphe:
"Nos garde-manger commencent à ressembler à des cavernes d'Ali Baba. Nos librairies empilent les best-sellers culinaires, que nous dévorons. Nos écrans plats explosent de trucs, de conseils et de recettes. Comme si nous étions tous devenus marmitons...pardon...chefs, oui chef!"
On y parle donc de la facilité de trouver de l'information voire de la surabondance d'information dont nous innondent les livres, internet, les publications périodiques mais surtout la télé! Et c'est assez amusant dans un sens parce qu'on compare l'émission culinaire à une émission "osée", les qualifiants de "gastro-porn" puisque tout comme les dites émissions "osée", les émissions culinaires font saliver et attisent les sens rien qu'à regarder...sans jamais y goûter......... réfléchissez-y.... c'est assez vrai....
Mais la citation qui m'a le plus rassurée vient d'un certain Jordan LeBel (j'ignore franchement qui c'est) qui, dans sa thèse de doctorat, a parait-il écrit: "L'aliment que vous n'aimez pas, vous le mangez sans trop y porter attention, un peu comme un joueur pathologique. Tandis que celui que vous aimez vous apporte une satisfaction tellement intense qu'à un moment donné, vous réalisez que vous en avez assez." S'il a raison.... pourquoi devrait-on se priver?
Dans un deuxième temps, on parle d'ingrédients exotiques que l'on trouve de plus en plus facilement, mais aussi de la nécessité de préparer des repas à la maison plutôt que d'aller au restaurant question économique oblige.Mais, force est de constater dans un 3e temps qu'on laisse maintenant l'industrie décider pour nous ce que les aliments devraient goûter....sans trop se poser de questions soit par manque de temps ou surtout, par manque d'organisation, ce qui fait que, en mitonnant un plat maison, devenu maintenant une activité "ludique de fin de semaine", si un ingrédient vient à manquer, trouver une alternative s'avère beaucoup plus difficile qu'on ne l'imagine.... par quoi remplace-t-on du cerfeuil s'il vient à manquer? On a oublé le goût des ingrédients isolés les uns des autres....c'est quand même un peu triste quand on y pense...
Pour clore ce dossier, une entrevue avec Carle Witchel, président de l'Association canadienne pour la presse gastronomique et hôtelière depuis 2005.... fort intéressante cette entrevue.... Mettez la main sur la revue RND, numéro de juillet-août 2011.... c'est à lire, si la bouffe (oups.... la nourriture) vous intéresse!
Quand' je vais à Québec, c'est pour moi un retour à la nourriture de ma mère. Et bien que cette fois-ci, nous avons passé plus de temps à l'extérieur de la maison que devant le fourneau, c'est avec beaucoup de plaisir que nous avons préparé ensemble de merveilleux pétoncles avec une sauce crème aux poireaux! J'adore ce plat....Il se fait en moins de 15 minutes, demande un minimum d'ingrédients et explose de saveur en bouche... vous voulez la recette? alors voici...
Vous aurez besoin de 1 poireau que vous émincez finement
un peu de beurre
1/2 tasse de lait
1/2 tasse de crème cuisson
un peu d'estragon séché
du sel et du poivre
1 livre (450 gr) de pétoncles bien nettoyés et bien asséchés.
La préparation? simple.... vous faites suer les poireaux dans le beurre pendant quelques minutes à couvert (feu doux-moyen), ensuite vous ajoutez le reste des ingrédients sauf les pétoncles. Vous laissez mijoter à découvert pendant 10 minutes sur feu moyen. Vous déposez délicatement les pétoncles dans la sauce et vous couvrez immédiatement. Vous laissez sur feu moyen à doux pendant 5 minutes PAS PLUS sinon ils seront trop cuits! (personnellement, je retire du feu après 4 minutes le temps de dresser mes assiettes, je termine avec les pétoncles) Quand vous ouvrez le couvercle, la sauce aura enrobé les pétoncles et vous aurez le plus merveilleux petit plat de pétoncles à la crème.... Ajustez l'assaisonnement (sel et poivre). c'est tout! (ça devrait suffire pour ....2 personnes... j'aimerais bien vous dire que vous servirez plus de portions, mais c'est si bon que vous ne pouvez pas en mangez moins... je vous jure!)
Comme toute bonne tradition familiale.... il y a des classiques... les pétoncles, ma mère...et moi évidemment... nous les servons avec des asperges et du riz vapeur (pour absorber cette merveilleuse sauce!) Je ne me rappelle plus de la première fois où j'ai mangé ce plat... il me semble que ma mère en fait depuis toujours....un des grands bonheurs de la table familiale!
Enfin, parlant de crème.... ce soir, j'ai préparé un autre de mes plats préférés.... des côtelettes de veau à la sauce aux champignons....un bon repas facile lui aussi qui contient presque les mêmes ingrédients que les pétoncles. À croire qu'il y a là une ligne directrice.... Pour 2 personnes vous aurez besoin de
2 belles côtelettes de veau
225 gr de champignons de Paris (1 barquette) tranchés
1 oignon moyen tranché fin
1 gousse d'ail tranchée finement
15 gr de beurre (1 c.à table)
75 ml de vin blanc (1/4 de tasse) ou de bouillon de poulet, ou de jus de pomme non sucré
125 à 150 ml de crème à cuisson (1/2 à 2/3 tasse... à l'oeil)
sel, poivre et estragon (environ 3 ml, 1/2 c.à thé)
vous faites griller les côtelettes dans le beurre. Retirez les côtelettes et ajouter les légumes. Bien remuer puis ajouter le vin... Déposer les côtelettes sur le dessus, saler, poivrer et parsemer d'estragon, couvrir et baisser le feu à doux-moyen et laisser mijoter doucement pendant environ 20 minutes. (souvent, je les laisse plus longtemps pour qu'elles deviennent un peu plus tendre, mais après 20 minutes, c'est tout à fait mangeable!)
Retirer les côtelettes et les garder quelque part bien couvertes, augmentez le feu et ajouter la crème. Laisser mijoter pendant quelques minutes pour obtenir une belle sauce onctueuse. Servir chaque côtelette en la couvrant de sauce (oui,oui, j'adore la sauce) et des tranches d'un bon pain grillé (au levain de préférence pour son goût unique) qui vous servira de support pour vos "canapés" de sauce aux champignons.... C'est absolument délicieux! Je vous assure!
J'ai plusieurs sujets dont je veux vous entretenir alors, sans plus de préambules.....
J'ai eu à voyager à Québec la semaine dernière, question d'aller passer quelques jours avec ma petite maman d'amour... Je suis partie en autobus donc, j'ai apporté de la lecture question de tuer le temps un peu. Le matin du départ, j'étais allée à la banque (la caisse populaire en fait!), question d'avoir ce qu'il faut pour payer le billet d'autobus et un peu d'argent de poche en surplus... Depuis aussi loin que je me rappelle, la caisse a toujours été dépositaire de la brochure RND (anciennement connue sous le nom Revue Notre-Dame). Elle a bien changé cette petite brochure à travers les âges. si le format est toujours le même, le contenu lui, est passé de réflexion religio-économiques à socio-économique. Toute une différence..... Ce mois-ci, la page couverture titre "Fous de la cuisine!" Il n'en fallait pas plus pour que je consacre mon périple Montréal-Québec à la lecture de ce petit bijou!
Une fois passée par les sujets d'actualités comme le vouvoiement obligatoire et légiféré à l'école pour parait-il ramener le respect des élèves envers le professeur (mesure que je trouve abhérante dans sa justification considérant qu'en anglais on utilise indifféremment le YOU depuis toujours sans distinction de tu ou vous.... si on suit cette logique, faudrait-il inventer un nouveau pronom anglais pour l'un ou l'autre, question de trouver celui qui marquerait le respect???? Je ne crois pas que le respect tienne à un pronom mais bien à la relation établie entre le prof et les élèves... Je parle en connaissance de cause, J'ai enseigné pendant plusieurs années à des groupes d'enfants de tous âges... Je rencontre aujourd'hui ces mêmes enfants, maintenant jeunes adultes, et ils me saluent encore avec le sourire, contents de me raconter ce qu'ils deviennent.... je leur ai toujours dit que l'usage du vous me donnait des cheveux blancs alors c'était interdit de me vouvoyer! Jamais, et je le répète, jamais qui que ce soit ne m'a manqué de respect. Je n'étais pas l'amie, j'étais le professeur et c'était clair pour tout le monde...Bon, je m'écarte du sujet principal, je m'excuse)
Donc, après le vouvoiement et un article fort intéressant sur un hôpital pour oiseaux de proie, le dossier en 3 temps sur les tendances cusines tenant plus du voyeurisme que de la vraie cuisine. Je vous cite le premier paragraphe:
"Nos garde-manger commencent à ressembler à des cavernes d'Ali Baba. Nos librairies empilent les best-sellers culinaires, que nous dévorons. Nos écrans plats explosent de trucs, de conseils et de recettes. Comme si nous étions tous devenus marmitons...pardon...chefs, oui chef!"
On y parle donc de la facilité de trouver de l'information voire de la surabondance d'information dont nous innondent les livres, internet, les publications périodiques mais surtout la télé! Et c'est assez amusant dans un sens parce qu'on compare l'émission culinaire à une émission "osée", les qualifiants de "gastro-porn" puisque tout comme les dites émissions "osée", les émissions culinaires font saliver et attisent les sens rien qu'à regarder...sans jamais y goûter......... réfléchissez-y.... c'est assez vrai....
Mais la citation qui m'a le plus rassurée vient d'un certain Jordan LeBel (j'ignore franchement qui c'est) qui, dans sa thèse de doctorat, a parait-il écrit: "L'aliment que vous n'aimez pas, vous le mangez sans trop y porter attention, un peu comme un joueur pathologique. Tandis que celui que vous aimez vous apporte une satisfaction tellement intense qu'à un moment donné, vous réalisez que vous en avez assez." S'il a raison.... pourquoi devrait-on se priver?
Dans un deuxième temps, on parle d'ingrédients exotiques que l'on trouve de plus en plus facilement, mais aussi de la nécessité de préparer des repas à la maison plutôt que d'aller au restaurant question économique oblige.Mais, force est de constater dans un 3e temps qu'on laisse maintenant l'industrie décider pour nous ce que les aliments devraient goûter....sans trop se poser de questions soit par manque de temps ou surtout, par manque d'organisation, ce qui fait que, en mitonnant un plat maison, devenu maintenant une activité "ludique de fin de semaine", si un ingrédient vient à manquer, trouver une alternative s'avère beaucoup plus difficile qu'on ne l'imagine.... par quoi remplace-t-on du cerfeuil s'il vient à manquer? On a oublé le goût des ingrédients isolés les uns des autres....c'est quand même un peu triste quand on y pense...
Pour clore ce dossier, une entrevue avec Carle Witchel, président de l'Association canadienne pour la presse gastronomique et hôtelière depuis 2005.... fort intéressante cette entrevue.... Mettez la main sur la revue RND, numéro de juillet-août 2011.... c'est à lire, si la bouffe (oups.... la nourriture) vous intéresse!
Quand' je vais à Québec, c'est pour moi un retour à la nourriture de ma mère. Et bien que cette fois-ci, nous avons passé plus de temps à l'extérieur de la maison que devant le fourneau, c'est avec beaucoup de plaisir que nous avons préparé ensemble de merveilleux pétoncles avec une sauce crème aux poireaux! J'adore ce plat....Il se fait en moins de 15 minutes, demande un minimum d'ingrédients et explose de saveur en bouche... vous voulez la recette? alors voici...
Vous aurez besoin de 1 poireau que vous émincez finement
un peu de beurre
1/2 tasse de lait
1/2 tasse de crème cuisson
un peu d'estragon séché
du sel et du poivre
1 livre (450 gr) de pétoncles bien nettoyés et bien asséchés.
La préparation? simple.... vous faites suer les poireaux dans le beurre pendant quelques minutes à couvert (feu doux-moyen), ensuite vous ajoutez le reste des ingrédients sauf les pétoncles. Vous laissez mijoter à découvert pendant 10 minutes sur feu moyen. Vous déposez délicatement les pétoncles dans la sauce et vous couvrez immédiatement. Vous laissez sur feu moyen à doux pendant 5 minutes PAS PLUS sinon ils seront trop cuits! (personnellement, je retire du feu après 4 minutes le temps de dresser mes assiettes, je termine avec les pétoncles) Quand vous ouvrez le couvercle, la sauce aura enrobé les pétoncles et vous aurez le plus merveilleux petit plat de pétoncles à la crème.... Ajustez l'assaisonnement (sel et poivre). c'est tout! (ça devrait suffire pour ....2 personnes... j'aimerais bien vous dire que vous servirez plus de portions, mais c'est si bon que vous ne pouvez pas en mangez moins... je vous jure!)
Comme toute bonne tradition familiale.... il y a des classiques... les pétoncles, ma mère...et moi évidemment... nous les servons avec des asperges et du riz vapeur (pour absorber cette merveilleuse sauce!) Je ne me rappelle plus de la première fois où j'ai mangé ce plat... il me semble que ma mère en fait depuis toujours....un des grands bonheurs de la table familiale!
Enfin, parlant de crème.... ce soir, j'ai préparé un autre de mes plats préférés.... des côtelettes de veau à la sauce aux champignons....un bon repas facile lui aussi qui contient presque les mêmes ingrédients que les pétoncles. À croire qu'il y a là une ligne directrice.... Pour 2 personnes vous aurez besoin de
2 belles côtelettes de veau
225 gr de champignons de Paris (1 barquette) tranchés
1 oignon moyen tranché fin
1 gousse d'ail tranchée finement
15 gr de beurre (1 c.à table)
75 ml de vin blanc (1/4 de tasse) ou de bouillon de poulet, ou de jus de pomme non sucré
125 à 150 ml de crème à cuisson (1/2 à 2/3 tasse... à l'oeil)
sel, poivre et estragon (environ 3 ml, 1/2 c.à thé)
vous faites griller les côtelettes dans le beurre. Retirez les côtelettes et ajouter les légumes. Bien remuer puis ajouter le vin... Déposer les côtelettes sur le dessus, saler, poivrer et parsemer d'estragon, couvrir et baisser le feu à doux-moyen et laisser mijoter doucement pendant environ 20 minutes. (souvent, je les laisse plus longtemps pour qu'elles deviennent un peu plus tendre, mais après 20 minutes, c'est tout à fait mangeable!)
Retirer les côtelettes et les garder quelque part bien couvertes, augmentez le feu et ajouter la crème. Laisser mijoter pendant quelques minutes pour obtenir une belle sauce onctueuse. Servir chaque côtelette en la couvrant de sauce (oui,oui, j'adore la sauce) et des tranches d'un bon pain grillé (au levain de préférence pour son goût unique) qui vous servira de support pour vos "canapés" de sauce aux champignons.... C'est absolument délicieux! Je vous assure!
Wednesday, 24 August 2011
Je récidive avec le pesto!
Et oui... je récidive... une nouvelle recette de Pesto.
Mêmes ingrédients, mais cette fois-ci, on se sert d'une balance pour peser les ingrédients. D'accord, ce n'est pas de la pâtisserie, mais ça me permet quand même de vous parler du rôle important que ce petit gadget tient dans la cuisine.
Avec une bonne balance, vous pouvez vous lancer à l'assaut des recettes du monde! Contrairement à à nous, nord-américains, le reste du monde a pris l'habitude de peser ses ingrédients au lieu de mesurer le volume.... c'est beaucoup plus précis! et dans certains cas, la précision, c'est primordial!
Alors comment choisir une bonne balance? Tout d'abord, tenez vous loin des trucs avec des aiguilles... Il fut un temps où c'était les seules disponibles mais, c'est bon d'évoluer avec son temps...donc... une balance électronique est de mise. Recherchez une balance qui convertira le poids entre système métrique et système anglais... vous ne savez jamais sur quelle recette vous pouvez tomber...
Jusqu'à combien devrait-elle peser? La mienne supporte 5 kg ou 11 livres. C'est généralement suffisant et si vous avez besoin de plus, vous pouvez toujours peser en 2 ou 3 étapes.
Quelle précision? encore une fois, je vous parlerai de la mienne qui fait le travail parfaitement pour mes besoins, la précision est de 1 gramme ou 0.1 livre selon le système choisi. A moins que vous ne vous lanciez dans la cuisine moléculaire (oui, ça commence à me chatouiller) vous ne devriez pas avoir besoin de quelque chose de plus précis.
Votre balance vous servira souvent...que ce soit pour faire de la pâtisserie, des sucreries ou des confitures, ou même des marinades. Elle pourra aussi peser un rôti ou un poisson pour déterminer le temps de cuisson... en fait, votre balance pourrait devenir votre meilleur aide-cuisinier pour ne pas dire votre meilleur ami quand vous êtes au fourneau.
Je vais maintenant vous confier un secret.... lorsque vous démarrez la balance, il est important de bien mettre à zéro... Si vous pesez quelque chose dans une assiette, posez une assiette identique vide avant de démarrer votre balance, ou encore démarrer, posez l'assiette vide et faites le zéro (tare) avant de peser vos ingrédients. Je sais, ça semble un peu idiot de le préciser, mais ça vous arrivera à vous aussi d'oublier... et surtout, d'oublier de remettre à zero entre les différentes pesées dans une même séances...oui,oui, ça m'est arrivé quelques fois.... quand votre pomme pèse 0 grammes...vous savez que vous avez oublié quelque chose!
Donc.... une fois propriétaire d'une balance alimentaire, voici une recette simple pour vous pratiquer. Et oui, encore un pesto, puisque c'est la saison du basilic frais!é
Pesto al Genovese
100 gr de feuilles de basilic à grandes feuilles ou de basilic à feuilles de laitue
150 ml d'huile d'olive
1 ml de sel ( 1/4 c.à thé)
2 gousses d'ail
50 gr de pignons de pin
50 gr de Parmiggiano Reggiano
La première étape, vous la ferez à la main, dans un mortier avec un pilon. Il s'agit de réduire en pâte crémeuse, l'ail et le sel.... d'ailleurs, partout où on vous demande de l'ail et du sel pour mettre dans une purée, vous gagnerez en saveur à le faire au mortier....
Ensuite, vous ajoutez le pignons et vous continuez à écraser avec le pilon jusqu'à ce que vous obteniez une belle pâte.
Ok... la partie physique est terminée. Maintenant, déposez les feuilles de basilic dans un robot culinaire et en pulsant, réduitre en purée grossière. Ajoutez le reste des ingrédients sauf l'huile et pulsez quelques fois pour bien mélanger.
Mettre ensuite en marche continue et verser l'huile en filet. Arrêtez le robot dès que toute l'huile est versée.
Voilà... vous avez un excellent pesto prêt à servir!. Si vous ne désirez pas le manger sur le champ, mettre dans un plat qui ferme hermétiquement, mais couvrir d'une pellicule plastique déposée directement sur le pesto pour éviter le contact avec l'air qui ferait oxyder votre pesto et le rendrait un peu plus amer et beaucoup moins esthétique!
Bon appétit!
Mêmes ingrédients, mais cette fois-ci, on se sert d'une balance pour peser les ingrédients. D'accord, ce n'est pas de la pâtisserie, mais ça me permet quand même de vous parler du rôle important que ce petit gadget tient dans la cuisine.
Avec une bonne balance, vous pouvez vous lancer à l'assaut des recettes du monde! Contrairement à à nous, nord-américains, le reste du monde a pris l'habitude de peser ses ingrédients au lieu de mesurer le volume.... c'est beaucoup plus précis! et dans certains cas, la précision, c'est primordial!
Alors comment choisir une bonne balance? Tout d'abord, tenez vous loin des trucs avec des aiguilles... Il fut un temps où c'était les seules disponibles mais, c'est bon d'évoluer avec son temps...donc... une balance électronique est de mise. Recherchez une balance qui convertira le poids entre système métrique et système anglais... vous ne savez jamais sur quelle recette vous pouvez tomber...
Jusqu'à combien devrait-elle peser? La mienne supporte 5 kg ou 11 livres. C'est généralement suffisant et si vous avez besoin de plus, vous pouvez toujours peser en 2 ou 3 étapes.
Quelle précision? encore une fois, je vous parlerai de la mienne qui fait le travail parfaitement pour mes besoins, la précision est de 1 gramme ou 0.1 livre selon le système choisi. A moins que vous ne vous lanciez dans la cuisine moléculaire (oui, ça commence à me chatouiller) vous ne devriez pas avoir besoin de quelque chose de plus précis.
Votre balance vous servira souvent...que ce soit pour faire de la pâtisserie, des sucreries ou des confitures, ou même des marinades. Elle pourra aussi peser un rôti ou un poisson pour déterminer le temps de cuisson... en fait, votre balance pourrait devenir votre meilleur aide-cuisinier pour ne pas dire votre meilleur ami quand vous êtes au fourneau.
Je vais maintenant vous confier un secret.... lorsque vous démarrez la balance, il est important de bien mettre à zéro... Si vous pesez quelque chose dans une assiette, posez une assiette identique vide avant de démarrer votre balance, ou encore démarrer, posez l'assiette vide et faites le zéro (tare) avant de peser vos ingrédients. Je sais, ça semble un peu idiot de le préciser, mais ça vous arrivera à vous aussi d'oublier... et surtout, d'oublier de remettre à zero entre les différentes pesées dans une même séances...oui,oui, ça m'est arrivé quelques fois.... quand votre pomme pèse 0 grammes...vous savez que vous avez oublié quelque chose!
Donc.... une fois propriétaire d'une balance alimentaire, voici une recette simple pour vous pratiquer. Et oui, encore un pesto, puisque c'est la saison du basilic frais!é
Pesto al Genovese
100 gr de feuilles de basilic à grandes feuilles ou de basilic à feuilles de laitue
150 ml d'huile d'olive
1 ml de sel ( 1/4 c.à thé)
2 gousses d'ail
50 gr de pignons de pin
50 gr de Parmiggiano Reggiano
La première étape, vous la ferez à la main, dans un mortier avec un pilon. Il s'agit de réduire en pâte crémeuse, l'ail et le sel.... d'ailleurs, partout où on vous demande de l'ail et du sel pour mettre dans une purée, vous gagnerez en saveur à le faire au mortier....
Ensuite, vous ajoutez le pignons et vous continuez à écraser avec le pilon jusqu'à ce que vous obteniez une belle pâte.
Ok... la partie physique est terminée. Maintenant, déposez les feuilles de basilic dans un robot culinaire et en pulsant, réduitre en purée grossière. Ajoutez le reste des ingrédients sauf l'huile et pulsez quelques fois pour bien mélanger.
Mettre ensuite en marche continue et verser l'huile en filet. Arrêtez le robot dès que toute l'huile est versée.
Voilà... vous avez un excellent pesto prêt à servir!. Si vous ne désirez pas le manger sur le champ, mettre dans un plat qui ferme hermétiquement, mais couvrir d'une pellicule plastique déposée directement sur le pesto pour éviter le contact avec l'air qui ferait oxyder votre pesto et le rendrait un peu plus amer et beaucoup moins esthétique!
Bon appétit!
lunch, lunch et encore lunch!
Le retour à l'école pour l'année 2011-2012 est déjà amorcé. Les cégepiens ont entamé leur année lundi alors que les plus jeunes débarquerons des autobus scolaires la semaine prochaine. Avec le retour en classe vient l'éternelle question... et qu'est-ce que je peux bien mettre dans les lunch!
Ça m'attriste de penser que certains enfants mangeront un sandwich au jambon du genre 2 tranchesde pain blanc beurrées, 1 tranche de jambon mince, un peu de moutarde jaune pendant toute l'année, probablement parce que je ne suis pas très portée sur les sandwich. Ils ont leur côté pratique, mais ils souffrent aussi des défauts de leur qualité...on n'y porte pas grand attention et on répète souvent les mêmes combinaisons sans trop se demander pourquoi.
Avant toute chose, un bon sandwich demande un bon pain. Ceci n'est pas seulement valable pou r les sandwich d'adultes! Les enfants développeront le goût des bonnes choses si on leur en offre... comment développer le goût de quelque chose à laquelle on n'a pas accès. Donc, un bon pain comme base, que l'on prendra chez le boulanger de préférence, ou à la boulangerie de notre épicerie grande surface.
Règle no. 1: Variez les pains! Ne vous en tenez surtout pas au pain blanc classique. Chaque boulangerie, artisanale ou non, offre une variété de pains aromatisés aux herbes, au fromage, aux olives, etc, etc, etc. Obligez-vous à changer de pain à chaque achat.
Après le pain, la garniture bien sur. Un reste de roti de boeuf, du poulet grillé, un bon jambon maison sont toutes des alternatives faciles à trouver. Bien sûr, la chacuterie est aussi une avenue intéressante ainsi que les options plus "végétariennes", fromage, légumes grillés, oeufs, tofu mariné, etc.
Règle no 2: Choississez une protéine différente chaque jour. En prenant vos charcuteries au comptoir plutôt que dans des cello, vous pouvez ne commander que la quantité nécessaire pour préparer les sandwich pour 1 journée.
Règle no 3: Ne lésinez pas sur la source de protéine. Rappelez-vous qu'une portion de viande c'est de la grandeur et de l'épaisseur de la paume de votre main! 1 tranche mince de jambon, ce n'est pas suffisant. Vous devriez goûter la protéine, pas seulement du pain "salé".
Il vous reste à ajouter des légumes pour obtenir un repas équilibré.... les légumes feuilles sont légion. vous en trouverez de toutes les couleurs et de toutes sortes de saveurs. Les bébés salades sont aussi une alternative intéressante. Usez d'imagination, vous serez surpris des combinaisons possible
Règle no 4: Ne lésinez pas sur les légumes dans votre sandwich... Un bon sandwich ne fait pas seulement crounch quand vous mordez dedans, mais le légumes apportent fraîcheur à votre sandwich. une bonne épaisseur de laitues, de l'épaisseur de votre tranche de pain transformera votre sandwich en expérience vivifiante!
Il ne vous reste plus qu'à assaisonner...mayonnaise, moutarde, raifort mais aussi vinaigrette crémeuse ou huileuse, mélange huile et balsamique, etc, etc, etc.... les combinaisons sont infinies et chacune d'elle apportera sa couleur spécifique.
.
règle no 5: N'oubliez surtout pas les assaisonnements! ce sont eux qui donnent le ton à votre sandwich.
Si vous accompagnez d'un jus de légumes, ou de fruits, d'un yogourt ou d'une purée de fruits ou d'un fruit, vous avez entre les mains, un repas froid, qui se mange rapidement, et que vous pouvez préparer en 2 temps 3 mouvements en le variant à l'infini.
Règle no 6: Amusez-vous! la découverte de saveur devrait être ludique et non pas un effort de tous les instants. certaines combinaisons vous plairont, d'autres peut-être moins, mais vous aurez le mérite de ne pas donner dans la monotonie!
Mon sandwich préféré....de façon classique, pain blanc, salade aux oeufs AVEC oignons hachés fins et beaucoup de mayo, sel, poivre et une pointe de poudre de cari et un peu de persil frais haché.
Mon sandwich préféré pour un lunch... un panini avec fromage, légumes grillés et pesto, grillé puis refroidi, et coupé en pointes pour faciliter le transport. Il garde son croquant même froid et a une saveur du tonnerre!
Alors, qu'est-ce qu'on apporte comme lunch? Le jeu commence.....maintenant!
Ça m'attriste de penser que certains enfants mangeront un sandwich au jambon du genre 2 tranchesde pain blanc beurrées, 1 tranche de jambon mince, un peu de moutarde jaune pendant toute l'année, probablement parce que je ne suis pas très portée sur les sandwich. Ils ont leur côté pratique, mais ils souffrent aussi des défauts de leur qualité...on n'y porte pas grand attention et on répète souvent les mêmes combinaisons sans trop se demander pourquoi.
Avant toute chose, un bon sandwich demande un bon pain. Ceci n'est pas seulement valable pou r les sandwich d'adultes! Les enfants développeront le goût des bonnes choses si on leur en offre... comment développer le goût de quelque chose à laquelle on n'a pas accès. Donc, un bon pain comme base, que l'on prendra chez le boulanger de préférence, ou à la boulangerie de notre épicerie grande surface.
Règle no. 1: Variez les pains! Ne vous en tenez surtout pas au pain blanc classique. Chaque boulangerie, artisanale ou non, offre une variété de pains aromatisés aux herbes, au fromage, aux olives, etc, etc, etc. Obligez-vous à changer de pain à chaque achat.
Après le pain, la garniture bien sur. Un reste de roti de boeuf, du poulet grillé, un bon jambon maison sont toutes des alternatives faciles à trouver. Bien sûr, la chacuterie est aussi une avenue intéressante ainsi que les options plus "végétariennes", fromage, légumes grillés, oeufs, tofu mariné, etc.
Règle no 2: Choississez une protéine différente chaque jour. En prenant vos charcuteries au comptoir plutôt que dans des cello, vous pouvez ne commander que la quantité nécessaire pour préparer les sandwich pour 1 journée.
Règle no 3: Ne lésinez pas sur la source de protéine. Rappelez-vous qu'une portion de viande c'est de la grandeur et de l'épaisseur de la paume de votre main! 1 tranche mince de jambon, ce n'est pas suffisant. Vous devriez goûter la protéine, pas seulement du pain "salé".
Il vous reste à ajouter des légumes pour obtenir un repas équilibré.... les légumes feuilles sont légion. vous en trouverez de toutes les couleurs et de toutes sortes de saveurs. Les bébés salades sont aussi une alternative intéressante. Usez d'imagination, vous serez surpris des combinaisons possible
Règle no 4: Ne lésinez pas sur les légumes dans votre sandwich... Un bon sandwich ne fait pas seulement crounch quand vous mordez dedans, mais le légumes apportent fraîcheur à votre sandwich. une bonne épaisseur de laitues, de l'épaisseur de votre tranche de pain transformera votre sandwich en expérience vivifiante!
Il ne vous reste plus qu'à assaisonner...mayonnaise, moutarde, raifort mais aussi vinaigrette crémeuse ou huileuse, mélange huile et balsamique, etc, etc, etc.... les combinaisons sont infinies et chacune d'elle apportera sa couleur spécifique.
.
règle no 5: N'oubliez surtout pas les assaisonnements! ce sont eux qui donnent le ton à votre sandwich.
Si vous accompagnez d'un jus de légumes, ou de fruits, d'un yogourt ou d'une purée de fruits ou d'un fruit, vous avez entre les mains, un repas froid, qui se mange rapidement, et que vous pouvez préparer en 2 temps 3 mouvements en le variant à l'infini.
Règle no 6: Amusez-vous! la découverte de saveur devrait être ludique et non pas un effort de tous les instants. certaines combinaisons vous plairont, d'autres peut-être moins, mais vous aurez le mérite de ne pas donner dans la monotonie!
Mon sandwich préféré....de façon classique, pain blanc, salade aux oeufs AVEC oignons hachés fins et beaucoup de mayo, sel, poivre et une pointe de poudre de cari et un peu de persil frais haché.
Mon sandwich préféré pour un lunch... un panini avec fromage, légumes grillés et pesto, grillé puis refroidi, et coupé en pointes pour faciliter le transport. Il garde son croquant même froid et a une saveur du tonnerre!
Alors, qu'est-ce qu'on apporte comme lunch? Le jeu commence.....maintenant!
Tuesday, 23 August 2011
New York, suite et fin
De retour de New York depuis 2 jours où j'ai mangé quelques repas tout à fait délicieux pour un prix presque raisonnable. Après la journée de voyagement vendredi et une bonne nuit de sommeil, quel ne fut pas mon désapointement de voir le petit déjeuner que léré'hôtel nous offrait... du pain blanc ou brun, pour faire griller avec un grille pain 4 tranches... on est 50 voyageurs et on n'est pas les seuls à l'hôtel...enfin.... des céréales, 1 sucrée, l'autre un peu moins, du gâteau quatre-quarts au chocolat ou marbré, des oeufs durs, des pommes, du jus d'orange, du thé ou du café.... pour mettre sur le pain, du beurre ou de la gelée de raisins et enfin.... des nouilles instants en tasse auxquelles il faut ajouter de l'eau chaude pour faire une sorte de soupe très salée et pas très nourrissante.... Il faut préciser qu'après le petit déjeuner, on entreprend une longue journée de visite...
Comme je ne mange pas de sucre au petit déjeuner, j'ai un peu de difficulté à faire un choix équilibré... j'opte donc pour 2 tranches de pain brun que je fais rotir, 2 oeufs et un café (parce qu'il ne reste plus de jus d'orange au moment où je suis à me servir)... Il me faudra tenir jusqu'au midi avec ça... hmmmm
Donc, nous partons en visite et après avoir vu la nouvelle construction sur le site du World Trade Center et traversé Wall Street nous embarquons pour une petite croisière pour aller saluer la Statue de la Liberté.... le temps est magnifique et le ciel d'un beau bleu soutenu... pas un nuage en vue! Mis 11 heures sonne et je meurs de faim... heureusement, un petit sachet d'arachides salées vient calmer les gargouillis d'estomac.
Pour le lunch, nous nous retrouvons dans une cour alimentaire, où mon choix s'arrête à un comptoir de cuisine Cajun. Un plat de poulet grillé et enrobé d'une sauce brune sucrée (mais pas trop sucrée) ainsi que des crevettes à la créole (crevettes, poivrons, tomates en sauce) servi sur riz jaune. accompagné bien sûr d'une bouteille d'eau. La seule qualité du riz, c'est d'être jaune... Pour le reste, il est absolument insipide...c'est triste par contre, les crevettes sont cuites à la perfection et très savoureuses et le poulet est absolument parfait!
Après le lunch, une petite marche sur Broadway s'impose. Comme le magasinage n'est pas à l'honneur dans notre petit groupe, nous faisons un arrêt à un "food truck" ou si vous aimez mieux, une "roulotte à nourriture" qui sert des jus de fruits frais. J'opte pour un grand jus "trio de melons" un mélange absolument délicieux de pastèque, melon miel et cantaloup. Pas de sucre, juste de la glace et les bons services d'un mélangeur professionnel. C'est très rafraichissant et parfait pour déguster lentement, tout en faisant du lèche vitrine. Le soir venu, nous nous dirigeons sur Time Square... notre choix de resto... Red Lobster, principalement parce qu'il y a un bar et qu'il y a de la place pour attendre assis! Un Long Island Iced Tea modifié (oui, il faut que j'évite le rhum...)vient couronner cette magnifique journée. Au milieu de nos verres.. on nous appelle pour le repas... Nous opterons toutes les 3 pour du poisson. Dans mon cas, ce sera de la morue fraîche avec une sauce aux crevettes... c'est absolument divin bien que la morue soit légèrement trop cuite (elle est un peu sèche). Ce plat est accompagné de salade avec vinaigrette balsamique, brocoli et oui...riz jaune, mais, j'avoue qu'il était bien meilleur!.
Ayant prévu un petit déjeuner identique pour demain, nous nous arrêtons chez Europa pour faire un achat important.... quelque chose de soutenant! Notre choix, yogourt nature garni de Céréales granola et de fruits. A notre arrivée à l'hotel, ces merveilleux petits desserts vout directement au frigo. et... le lendemain, le granola a absorbé beaucoup de l'humidité du yogourt ce qui fait que nous avons 3 beaux bols de yogourt pour débuter la journée.
Ce matin... direction les outlets pour un sprint de shopping. Le repas se prend dans la cour alimentaire ou 2 restos se démarquent. Le resto mexicain sert de la nourriture préparée sur commande. Mon option, des tacos mous au poulet grillé, de la salsa verte et rouge, des chips de maïs, une fabuleuse guacamole contenant de gros morceaux d'avocats et.... mon éternelle bouteille d'eau. C'est vraiment bon! A chaque fois que je vais dans ces outlets, je ne manque pas d'aller manger à ce resto. L'expérience m'a prouvé que c'était le meilleur resto de la cour alimentaire, suivi de près par le resto "au bon pain" qui sert vous l'aurez deviné, des sandwich! et....des salades. Si je vous en parle, c'est que j'y ai acheté mon souper... un sandwich-croissant au homard, un sac de chips Cape Cod et.... une bouteille de... thé glacé...vraiment glacé, qui me sert à conserver mon sandwich frais puisqu'il contient de la mayonnaise... L'heure du souper venue... il est absolument très frais et je n,ai aucune crainte quand à la sécurité alimentaire de ce sandwich. Il est tout à fait comme je m'y attendais....
En rétrospective, un bien beau et bien bon weekend!
Comme je ne mange pas de sucre au petit déjeuner, j'ai un peu de difficulté à faire un choix équilibré... j'opte donc pour 2 tranches de pain brun que je fais rotir, 2 oeufs et un café (parce qu'il ne reste plus de jus d'orange au moment où je suis à me servir)... Il me faudra tenir jusqu'au midi avec ça... hmmmm
Donc, nous partons en visite et après avoir vu la nouvelle construction sur le site du World Trade Center et traversé Wall Street nous embarquons pour une petite croisière pour aller saluer la Statue de la Liberté.... le temps est magnifique et le ciel d'un beau bleu soutenu... pas un nuage en vue! Mis 11 heures sonne et je meurs de faim... heureusement, un petit sachet d'arachides salées vient calmer les gargouillis d'estomac.
Pour le lunch, nous nous retrouvons dans une cour alimentaire, où mon choix s'arrête à un comptoir de cuisine Cajun. Un plat de poulet grillé et enrobé d'une sauce brune sucrée (mais pas trop sucrée) ainsi que des crevettes à la créole (crevettes, poivrons, tomates en sauce) servi sur riz jaune. accompagné bien sûr d'une bouteille d'eau. La seule qualité du riz, c'est d'être jaune... Pour le reste, il est absolument insipide...c'est triste par contre, les crevettes sont cuites à la perfection et très savoureuses et le poulet est absolument parfait!
Après le lunch, une petite marche sur Broadway s'impose. Comme le magasinage n'est pas à l'honneur dans notre petit groupe, nous faisons un arrêt à un "food truck" ou si vous aimez mieux, une "roulotte à nourriture" qui sert des jus de fruits frais. J'opte pour un grand jus "trio de melons" un mélange absolument délicieux de pastèque, melon miel et cantaloup. Pas de sucre, juste de la glace et les bons services d'un mélangeur professionnel. C'est très rafraichissant et parfait pour déguster lentement, tout en faisant du lèche vitrine. Le soir venu, nous nous dirigeons sur Time Square... notre choix de resto... Red Lobster, principalement parce qu'il y a un bar et qu'il y a de la place pour attendre assis! Un Long Island Iced Tea modifié (oui, il faut que j'évite le rhum...)vient couronner cette magnifique journée. Au milieu de nos verres.. on nous appelle pour le repas... Nous opterons toutes les 3 pour du poisson. Dans mon cas, ce sera de la morue fraîche avec une sauce aux crevettes... c'est absolument divin bien que la morue soit légèrement trop cuite (elle est un peu sèche). Ce plat est accompagné de salade avec vinaigrette balsamique, brocoli et oui...riz jaune, mais, j'avoue qu'il était bien meilleur!.
Ayant prévu un petit déjeuner identique pour demain, nous nous arrêtons chez Europa pour faire un achat important.... quelque chose de soutenant! Notre choix, yogourt nature garni de Céréales granola et de fruits. A notre arrivée à l'hotel, ces merveilleux petits desserts vout directement au frigo. et... le lendemain, le granola a absorbé beaucoup de l'humidité du yogourt ce qui fait que nous avons 3 beaux bols de yogourt pour débuter la journée.
Ce matin... direction les outlets pour un sprint de shopping. Le repas se prend dans la cour alimentaire ou 2 restos se démarquent. Le resto mexicain sert de la nourriture préparée sur commande. Mon option, des tacos mous au poulet grillé, de la salsa verte et rouge, des chips de maïs, une fabuleuse guacamole contenant de gros morceaux d'avocats et.... mon éternelle bouteille d'eau. C'est vraiment bon! A chaque fois que je vais dans ces outlets, je ne manque pas d'aller manger à ce resto. L'expérience m'a prouvé que c'était le meilleur resto de la cour alimentaire, suivi de près par le resto "au bon pain" qui sert vous l'aurez deviné, des sandwich! et....des salades. Si je vous en parle, c'est que j'y ai acheté mon souper... un sandwich-croissant au homard, un sac de chips Cape Cod et.... une bouteille de... thé glacé...vraiment glacé, qui me sert à conserver mon sandwich frais puisqu'il contient de la mayonnaise... L'heure du souper venue... il est absolument très frais et je n,ai aucune crainte quand à la sécurité alimentaire de ce sandwich. Il est tout à fait comme je m'y attendais....
En rétrospective, un bien beau et bien bon weekend!
Friday, 19 August 2011
une virée médiévale...ou presque
Aujourd'hui, petit voyage dans la grande ville de New York... J'adore cette ville... j'adore la frénésie, le mouvement constant, les lumières de la ville! Le va-et-viens des taxis jaunes me fait sourire et la hauteur des édifices me donne le vertige.... j'aime New York... j'aime un peu moins le trajet pour venir ici par contre.
Soyons honnête... ce n'est pas moi qui conduit, je prends l'autobus... mais si j'ai l'avantage de ne pas conduire, j'ai aussi le désavantage de devoir passer les douanes dans la lignée des autobus... parfois c'est court mais plus souvent qu'autrement, c'est long.... très long..... de longues heures à attendre... cette fois-ci, c'est 3 heures que j'ai du passer au poste de douane.... et quand tu ne peux pas sortir de ton bus... c'est long!!!
Bon, j'arrête de me plaindre parce que la suite est plus réjouissante. Un peu avant Albany, capitale de l'état de New York, à Latham plus précisément, notre autobus s'est arrêté pour que nous puissions aller manger. Ce n'est pas la première fois que je prends des tours guidés pour New York et habituellement, nous allons dans un buffet chinois à Albany même, qui n'est pas très bon...en fait, c'est plutôt insipide au point où je me suis jurée de ne pas y retourner... heureusement, il y a un pizzeria juste de l'autre côté de la rue qui fait de très très très bons calzone.... tout ça pour dire que le buffet de Latham, je ne connaissais pas... on a donc pris une chance et à mon grand soulagement, c'était vraiment très très bon. oui, c'est un buffet et non, je n'aime pas particulièrement la formule buffet pour des raisons bien personnelles.... mais je dois dire que celui-ci était assez plaisant.
J'y ai mangé des champignons à l'ail qui n'avait pas peur de goûter l'ail, du brocoli avec des crevettes et du simili-crabe le tout étant juste à point... le brocoli croquant comme je l'aime, les crevettes juste assez cuite et le simili-crabe, juste réchauffé.... c'était parfait en autant qu'un tel plat peut l'être. Je me suis aussi risquée sur des Shu Mai, sorte de dumpling au porc très goûteux avec un sauce à base de soya, et ils étaient délicieux. Un peu de riz frit aux petits légumes et des haricots verts sautés ont complété mon repas....Je suis sortie du resto rassasiée et satisfaite de la qualité du repas.
Nous avons donc fait notre entrée dans la Grosse Pomme vers 17h00 ce soir et nous nous sommes dirigés vers le Rockerfeller center, pour monter à la tour d'observation Top of the Rock, au 70e étage... c'est tout un "feeling" de se retrouver à ciel ouvert à cette hauteur....et sans vitres protectrices.... seul un garde-fou à la hauteur de la taille nous sépare du grand vide! Mais quelle vue! Heureusement qu'il faisait beau, on pouvait voir à des miles et des miles à la ronde... absolument magnifique. Mais l'heure du souper approchait.... dans les entrailles du Rockerfeller center, une cour alimentaire... et un petit resto du nom de Harry's Pizzeria... Non, je n'ai pas mangé de Pizza mais plutôt un panini au Proscuitto, Mozzarella (bocconcini plutôt) et poivron rouge grillé... auquel j,ai ajouté un peu de parmesan, un peu d'origan, et la petite vinaigrette/trempette huile d'olive/vinaigre balsamique qui venait avec... je vous jure un délice! En fait, tout ce qu'il manquait, c'était un petit séjour dans un gril panini pour bonifier le tout.
Incidemment, je tente de trouver la vraie explication du surnom de New York... La Grosse Pomme... j'ai lu toutes sortes d'histoires, il semble que ce soit peut-être lié au courses de chevaux ou encore au jazz, ou encore que c'est une image représentant la distribution de la richesse comme un arbre(washington) qui nourrit ses branches (les états) et que certaines branches ont des pommes (les villes) dont une très grosse (New York) qui engloutis une trop grande partie de la richesse.... Quelle que soit l'explication véritable, j'aime bien l'image de la pomme... c'est une image invitante et... c'est rouge! couleur de la passion!
Finalement, je parlais d'une virée médiévale.... ce sont les noms qui m'ont fait sourire.... ce midi le nom du restaurant était le King's buffet (le buffet du roi) ce soir, je dors au Knights inn (l'auberge des chevaliers)... ne manque plus que la table ronde!
Si ça vous intéresse, voici l'adresse du King's buffet
701 Troy-Schenetady Road
Latham, Ny 12110
Juste à côté se trouve un restaurant de la chaîne Friendly's et oui, ils en font la publicité! allez donc comprendre....
Soyons honnête... ce n'est pas moi qui conduit, je prends l'autobus... mais si j'ai l'avantage de ne pas conduire, j'ai aussi le désavantage de devoir passer les douanes dans la lignée des autobus... parfois c'est court mais plus souvent qu'autrement, c'est long.... très long..... de longues heures à attendre... cette fois-ci, c'est 3 heures que j'ai du passer au poste de douane.... et quand tu ne peux pas sortir de ton bus... c'est long!!!
Bon, j'arrête de me plaindre parce que la suite est plus réjouissante. Un peu avant Albany, capitale de l'état de New York, à Latham plus précisément, notre autobus s'est arrêté pour que nous puissions aller manger. Ce n'est pas la première fois que je prends des tours guidés pour New York et habituellement, nous allons dans un buffet chinois à Albany même, qui n'est pas très bon...en fait, c'est plutôt insipide au point où je me suis jurée de ne pas y retourner... heureusement, il y a un pizzeria juste de l'autre côté de la rue qui fait de très très très bons calzone.... tout ça pour dire que le buffet de Latham, je ne connaissais pas... on a donc pris une chance et à mon grand soulagement, c'était vraiment très très bon. oui, c'est un buffet et non, je n'aime pas particulièrement la formule buffet pour des raisons bien personnelles.... mais je dois dire que celui-ci était assez plaisant.
J'y ai mangé des champignons à l'ail qui n'avait pas peur de goûter l'ail, du brocoli avec des crevettes et du simili-crabe le tout étant juste à point... le brocoli croquant comme je l'aime, les crevettes juste assez cuite et le simili-crabe, juste réchauffé.... c'était parfait en autant qu'un tel plat peut l'être. Je me suis aussi risquée sur des Shu Mai, sorte de dumpling au porc très goûteux avec un sauce à base de soya, et ils étaient délicieux. Un peu de riz frit aux petits légumes et des haricots verts sautés ont complété mon repas....Je suis sortie du resto rassasiée et satisfaite de la qualité du repas.
Nous avons donc fait notre entrée dans la Grosse Pomme vers 17h00 ce soir et nous nous sommes dirigés vers le Rockerfeller center, pour monter à la tour d'observation Top of the Rock, au 70e étage... c'est tout un "feeling" de se retrouver à ciel ouvert à cette hauteur....et sans vitres protectrices.... seul un garde-fou à la hauteur de la taille nous sépare du grand vide! Mais quelle vue! Heureusement qu'il faisait beau, on pouvait voir à des miles et des miles à la ronde... absolument magnifique. Mais l'heure du souper approchait.... dans les entrailles du Rockerfeller center, une cour alimentaire... et un petit resto du nom de Harry's Pizzeria... Non, je n'ai pas mangé de Pizza mais plutôt un panini au Proscuitto, Mozzarella (bocconcini plutôt) et poivron rouge grillé... auquel j,ai ajouté un peu de parmesan, un peu d'origan, et la petite vinaigrette/trempette huile d'olive/vinaigre balsamique qui venait avec... je vous jure un délice! En fait, tout ce qu'il manquait, c'était un petit séjour dans un gril panini pour bonifier le tout.
Incidemment, je tente de trouver la vraie explication du surnom de New York... La Grosse Pomme... j'ai lu toutes sortes d'histoires, il semble que ce soit peut-être lié au courses de chevaux ou encore au jazz, ou encore que c'est une image représentant la distribution de la richesse comme un arbre(washington) qui nourrit ses branches (les états) et que certaines branches ont des pommes (les villes) dont une très grosse (New York) qui engloutis une trop grande partie de la richesse.... Quelle que soit l'explication véritable, j'aime bien l'image de la pomme... c'est une image invitante et... c'est rouge! couleur de la passion!
Finalement, je parlais d'une virée médiévale.... ce sont les noms qui m'ont fait sourire.... ce midi le nom du restaurant était le King's buffet (le buffet du roi) ce soir, je dors au Knights inn (l'auberge des chevaliers)... ne manque plus que la table ronde!
Si ça vous intéresse, voici l'adresse du King's buffet
701 Troy-Schenetady Road
Latham, Ny 12110
Juste à côté se trouve un restaurant de la chaîne Friendly's et oui, ils en font la publicité! allez donc comprendre....
Thursday, 18 August 2011
Préparatifs de voyage....
Encore un voyage en vue... un weekend entre amies dans la grande ville de New York. Heureusement, il y a encore des agences qui organisent des voyages à prix abordables... En préparation de ce voyage, il me faut penser à ce que je vais apporter pour "grignotter" en route.
Évidemment, pas question de traverser la douane américaine avec de la viande fraîche ou des oranges ou finalement à peu près tout ce que je peux penser comme étant frais et santé.... mais bon....
Je suis allée aujourd'hui dans un nouveau marché antillais qui vient d'ouvrir ses portes près de chez moi, et j'y ai déniché du pain de cassava sucré...je n'ai vraiment aucune idée de ce que ça peut goûter, mais j'aime bien le cassava et c'est soutenant.... le pain sucré lui contient de la noix de coco et des raisins, alors j'imagine que ça ne peut pas être mauvais et normalement.... ça devrait suffire pour le voyage. En fait, je soupçonne que nous dînerons en chemin alors c'est une question de faire l'avant-midi... oui, c'est un voyage en autobus!
Parlant du marché antillais...Vous y trouverez une gamme de produits pour cuisiner à l'haïtienne, mais la gamme est en devenir selon les demandes des clients et est appelée à grandir. Je leur souhaite du succès et surtout je les remercie de leur initiative.
Tout au fond se trouve un casse-croûte.... un menu tout simple et surtout très classique.... poulet, griot, riz collé, lallo, légumes... et... c'est à peu près tout! L'odeur de la nourriture était très présente dans le marché... résultat.... ce soir, nous avons mangé du griot, avec du riz collé, de la banane pesée, salade de macaroni et marinades (sauce épicée)...
OK, vous ne connaissez pas le griot.... C'est composé de cubes de porc, qui ont été bouillis jusqu'à ce que tendre, puis frit dans le gras jusqu'à ce que l'extérieur soit presque croquant... la sauce est pimentée et assaisonnées d'oignons et de thym.... et, je fais amende honorable... j'ai essayé d'en cuisiner une fois et ce fut un désastre! C'était bon, mais ce n'était définitivement pas du griot!
Pour le riz collé, c'est une spécialité en Haïti... c'est du riz cuit avec des pois (haricots rouges) et là aussi, la préparation m'échappe un peu...
Enfin pour la banane pesée, c'est une tranche de banane plantain frite, écrasée puis refrite. L'extérieur est croustillant et la chair bien moëlleuse...
Le repas de ce nouveau casse-croûte était ma foi, bien bon... suprenamment, la viande n'était pas grasse vraiment... sur 4 portions, je n'ai trouvé que 4 morceaux avec du gras visible... tous les autres griots que j,ai mangés en contenaient beaucoup, beaucoup plus... En fait, il arrivait que plus de la moitié de la "viande" soit seulement du gras.... ici, ce n'est pas le cas. La viande par contre était un peu sèche ce qui est dommage,mais, ça vient avec le fait d'avoir de la viande maigre. Le riz était excellent, la salade s'est mangée toute seule et la marinade (sauce) absolument parfaite... vinaigrée et très relevée!
Le dernier casse-croûte haïtien qu'il y avait eu dans mon quartier a fermé ses portes il y a 2 ans.... alors je suis bien contente d'en voir un nouveau ouvrir... et pour ce qui est du nom...je vous le donne dans le mille...Alimentation Caraïbes, casse-croûte créole. Ok, pour ce qui est de l'originalité, c'est pas gagné mais on ne pourra pas leur reprocher d'avoir un nom qui porte à confusion.
Vous pouvez trouver de nombreux casse-croûtes haïtiens dans la grande région de Montréal, le griot y est généralement toujours assez bon. je vous encourage à essayer... ah oui, et j'oubliais.... ils sont tous ou à peu près tous sous la formule payer et allez manger ailleurs!
Si vous venez dans le coin et qu'il vous venait une envie soudaine de produits créoles, je vous laisse l'adresse:
7784 boul. Lévesque Est
Laval
Évidemment, pas question de traverser la douane américaine avec de la viande fraîche ou des oranges ou finalement à peu près tout ce que je peux penser comme étant frais et santé.... mais bon....
Je suis allée aujourd'hui dans un nouveau marché antillais qui vient d'ouvrir ses portes près de chez moi, et j'y ai déniché du pain de cassava sucré...je n'ai vraiment aucune idée de ce que ça peut goûter, mais j'aime bien le cassava et c'est soutenant.... le pain sucré lui contient de la noix de coco et des raisins, alors j'imagine que ça ne peut pas être mauvais et normalement.... ça devrait suffire pour le voyage. En fait, je soupçonne que nous dînerons en chemin alors c'est une question de faire l'avant-midi... oui, c'est un voyage en autobus!
Parlant du marché antillais...Vous y trouverez une gamme de produits pour cuisiner à l'haïtienne, mais la gamme est en devenir selon les demandes des clients et est appelée à grandir. Je leur souhaite du succès et surtout je les remercie de leur initiative.
Tout au fond se trouve un casse-croûte.... un menu tout simple et surtout très classique.... poulet, griot, riz collé, lallo, légumes... et... c'est à peu près tout! L'odeur de la nourriture était très présente dans le marché... résultat.... ce soir, nous avons mangé du griot, avec du riz collé, de la banane pesée, salade de macaroni et marinades (sauce épicée)...
OK, vous ne connaissez pas le griot.... C'est composé de cubes de porc, qui ont été bouillis jusqu'à ce que tendre, puis frit dans le gras jusqu'à ce que l'extérieur soit presque croquant... la sauce est pimentée et assaisonnées d'oignons et de thym.... et, je fais amende honorable... j'ai essayé d'en cuisiner une fois et ce fut un désastre! C'était bon, mais ce n'était définitivement pas du griot!
Pour le riz collé, c'est une spécialité en Haïti... c'est du riz cuit avec des pois (haricots rouges) et là aussi, la préparation m'échappe un peu...
Enfin pour la banane pesée, c'est une tranche de banane plantain frite, écrasée puis refrite. L'extérieur est croustillant et la chair bien moëlleuse...
Le repas de ce nouveau casse-croûte était ma foi, bien bon... suprenamment, la viande n'était pas grasse vraiment... sur 4 portions, je n'ai trouvé que 4 morceaux avec du gras visible... tous les autres griots que j,ai mangés en contenaient beaucoup, beaucoup plus... En fait, il arrivait que plus de la moitié de la "viande" soit seulement du gras.... ici, ce n'est pas le cas. La viande par contre était un peu sèche ce qui est dommage,mais, ça vient avec le fait d'avoir de la viande maigre. Le riz était excellent, la salade s'est mangée toute seule et la marinade (sauce) absolument parfaite... vinaigrée et très relevée!
Le dernier casse-croûte haïtien qu'il y avait eu dans mon quartier a fermé ses portes il y a 2 ans.... alors je suis bien contente d'en voir un nouveau ouvrir... et pour ce qui est du nom...je vous le donne dans le mille...Alimentation Caraïbes, casse-croûte créole. Ok, pour ce qui est de l'originalité, c'est pas gagné mais on ne pourra pas leur reprocher d'avoir un nom qui porte à confusion.
Vous pouvez trouver de nombreux casse-croûtes haïtiens dans la grande région de Montréal, le griot y est généralement toujours assez bon. je vous encourage à essayer... ah oui, et j'oubliais.... ils sont tous ou à peu près tous sous la formule payer et allez manger ailleurs!
Si vous venez dans le coin et qu'il vous venait une envie soudaine de produits créoles, je vous laisse l'adresse:
7784 boul. Lévesque Est
Laval
Wednesday, 17 August 2011
le temps qui file.....
Eh bien dites donc.... ,je n'ai jamais vu passer la journée d'hier, au point ou je n'ai réalisé qu'aujourd'hui que j'avais oublié de vous laisser ma chronique quotidienne.....comme disent les anglais:"time flies when you're having fun!".
Je vous avoue que je n'ai pas eu beaucoup de temps pour penser à ce que je voulais écrire... mais j'ai quand même une ou 2 idées.
Tout d'abord, je veux vous parler d'une émission que vous pouvez retrouver sur tout.tv.... il s'agit de "Chasseurs d'épices" avec Philippe et Ethné de Vienne. C'est mon amie Hélène qui m'a suggéré d'aller voir... et j'ai beaucoup aimé...et je dois avouer qu'ils ont piqé ma curiosité.... Je vous laisse l'adresse de la première émission, il y en a 6 au total pour la première saison et vous pouvez passer d'une émission à l'autre sur le site.
http://www.tou.tv/chasseurs-d-epices/S01E01
Je pense que vous aussi vous allez beaucoup aimer.... Et si le coeur vous en dit et que vous passez par le marché Jean-Talon... les épices de Philippe et Ethné de Vienne se retrouve à la boutique Olives et Épices et à la boutique La Dépense.... les. 2 évidemments sont au Marché... Les épices sont vendues sous la marque Épices du Cru. Vous aurez besoin de 30 à 45 minutes pour bien faire le tour...enfin... si vous êtes aussi curieux que moi bien sûr... et vous pouvez aussi déguster des huiles d'olives provenant des quatre coins de la terre (enfin, ceux qui produisent de l,huile bien sûr) et des vinaigres balsamiques tout aussi sélect!
Autre sujet télévision.....
Ces temps-ci, j'écoute l'émission Masterchef Australie....et parfois, Un Dîner presque parfait.... J'ai envie de vous donner mes impressions sur les 2 émissions et pourquoi j'aime la première et pas la deuxième...
Tout d'abord, Masterchef Australie...Une compétition culinaire pour des passionnés de cuisine, des chefs amateurs dont le métier principal n'a pas grand chose à voir avec la restauration. Ce que j'aime particulièrement de cette émission, c'est la camaraderie qui existe entre les participants...Je m'explique. Bien sûr, c'est une compétition et il y a beaucoup à gagner, mais les participants sont soucieux les uns des autres. Lorsque quelqu'un fait un bon coup, tout le monde le félicite, et lorsque quelqu'un doit partir, on sent une honnête tristesse.... On n'entend pas de bêtises dirigées vers les participants et les sourires sont francs. On sent vraiment qu'il existe des liens d'amitié entre les participants.... je ne sais pas comment ça va finir, mais je sais que tous seront contents pour le ou la gagnante. Autre chose, les 3 juges.... 2 chefs et 1 critique gastronomique.... Ce que j'apprécie par dessus tout, c'est qu'ils tentent par tous les moyens de trouver quelque chose de positif dans chacun des plats même ceux qui sont ratés.... un exemple... Aujourd'hui, pour une élimination, les participants avaient à préparer des oeufs bénédictines.... pour qui a déjà fait une sauce hollandaise....il arrive parfois que la sauce se sépare...et c'est un désastre....et c'est arrivé à quelqu'un.... bien sûr, cette personne a dû quitter à la fin, mais, les juges lui ont quand même dit que ses oeufs étaient pochés à la perfection, que son montage était parfait et que même si elle s'était séparée, sa sauce était assaisonnée parfaitement.... elle aurait pu gagner si le désastre ne s'était pas produit.
Enfin, quand un participant doit quitter, les juges sont toujours très encourageants et prodiguent des conseils et orientent les participants dans la direction qui les fera évoluer davantage dans leur projet de carrière culinaire. En gros, c'est une émission très positive!
Maintenant, Un souper presque parfait.... le concept.... 5 personnes qui ne se connaissent pas se reçoivent à tour de rôle... 1 soir chacun...1 semaine d'émissions.... Le concept est intéressant... le gagnantde la semaine reçoit un prix intéressant en argent... jusque là, pas de problème... mais ce qui me déplait... premièrement les gens eux-mêmes à quelques exceptions près, les semaines se suivent et se ressemblent.... les participants dénigrent la nourriture qui leur est servie.... c'est franchement déplaisant. J'ai vu des plats qui ont été servis qui avaient le mérite d'être très beaux et à les regarder préparer, ils devaient être franchement bons, pas juste correct ou "sans saveur particulière". Ce sont les participants qui donnent les points pour le repas et évidemment, il y a un vainqueur à la fin de la semaine....
Quelques attitudes qui me dérangent.... si quelqu'un note bas parce que l'hôte a servi un plat de poisson et que la personne n'en mange pas....C'EST PAS LA FAUTE DU CUISINIER!!!!! Quand quelqu'un ne mange pas de quelque chose, c'est le problème de ce quelqu'un là et il peut très bien noter sur les autres plats en faisant abstraction du plat qu'il ne mange pas...
Autre chose.... les gens dont le métier ou la formation s'est faite en cuisine.... SVP APPRÉCIEZ L'EFFORT DES CONCURRENTS, ils n'ont peut-être pas eu la chance que vous avez eu, ce qui ne veut pas dire qu'ils ont servi quelque chose d'immangeable! Au lieu de dénigrer, pourquoi ne pas faire comme ce sommelier l'autre semaine qui partageait son savoir (bon d'accord, peut-être un peu trop) et qui enseignait les rudiments de la dégustation aux autres convives... j'ai trouvé ça très bien de sa part! Et parlant de ce sommelier, il était diabétique et l'a dit dès la première rencontre, tout en disant aux autres qu'ils n'avaient pas besoin de changer quoi que ce soi, c'était lui qui gérait son "sucre"... Il n'a quand même pas diminué les notes parce qu'ils avaient préparé du dessert! Le principe est que chacun fait son gros possible pour préparer le meilleur dîner qu'ils sont capables alors, bordel, un peu d'appréciation tout de même, on n'a pas tous les mêmes habiletés en cuisine!
Enfin, une autre chose qui me dérange vraiment beaucoup...les gens qui manquent de "tenue"... que ce soit par leurs propos qui frisent la vulgarité ou ceux qui frisent la méchanceté.... que ce soit parce qu'ils passent des commentaires au sujet de l'absence de l'hôte à table (on se rappelle que cette personne est à faire le repas!) ou parce que l'hôte a oublié de verser le vin ou que comme cette semaine, l'agressivité a monté parce que l'invité s'est fait offrir une tasse de thé, n'a pas répondu et que après son dessert, ce même invité a demandé du thé et s'est offensé parce que le thé était CHAUD... au point d'être déplaisant pour l'hôte... Je sais pas pour vous, mais moi, quand on m'offre du thé, premièrement, je réponds....et deuxièmement, je m'attends à ce que mon thé soit chaud...et enfin, même si la personne me sert mon thé dans autre chose que de la porcelaine fine, je ne m'en offusque pas! D'ailleurs, n'en déplaise aux puristes, j'aime bien que mon thé reste chaud longtemps et ce n'est pas dans une tasse de fantaisie qu'il le fera...le "mug" à café fait des miracles pour garder un breuvage chaud!
Pourquoi j'écoute encore cette émission? En fait je l'écoute de temps à autres parce que je tombe dessus, mais c'est surtout parce que dans le moment, la station TV vient de lancer un appel à tous pour la prochaine saison..... ce serait quand même une bonne amélioration si les gens adoptaient l'attitude australienne.... une très bonne amélioration même!
Voilà.... bon visionnement! et félicitations à tous ceux qui participent comme concurrents aux nombreuses émissions de télé! Vous m'impressionnez chaque fois que je vous regarde! Bravo!
Je vous avoue que je n'ai pas eu beaucoup de temps pour penser à ce que je voulais écrire... mais j'ai quand même une ou 2 idées.
Tout d'abord, je veux vous parler d'une émission que vous pouvez retrouver sur tout.tv.... il s'agit de "Chasseurs d'épices" avec Philippe et Ethné de Vienne. C'est mon amie Hélène qui m'a suggéré d'aller voir... et j'ai beaucoup aimé...et je dois avouer qu'ils ont piqé ma curiosité.... Je vous laisse l'adresse de la première émission, il y en a 6 au total pour la première saison et vous pouvez passer d'une émission à l'autre sur le site.
http://www.tou.tv/chasseurs-d-epices/S01E01
Je pense que vous aussi vous allez beaucoup aimer.... Et si le coeur vous en dit et que vous passez par le marché Jean-Talon... les épices de Philippe et Ethné de Vienne se retrouve à la boutique Olives et Épices et à la boutique La Dépense.... les. 2 évidemments sont au Marché... Les épices sont vendues sous la marque Épices du Cru. Vous aurez besoin de 30 à 45 minutes pour bien faire le tour...enfin... si vous êtes aussi curieux que moi bien sûr... et vous pouvez aussi déguster des huiles d'olives provenant des quatre coins de la terre (enfin, ceux qui produisent de l,huile bien sûr) et des vinaigres balsamiques tout aussi sélect!
Autre sujet télévision.....
Ces temps-ci, j'écoute l'émission Masterchef Australie....et parfois, Un Dîner presque parfait.... J'ai envie de vous donner mes impressions sur les 2 émissions et pourquoi j'aime la première et pas la deuxième...
Tout d'abord, Masterchef Australie...Une compétition culinaire pour des passionnés de cuisine, des chefs amateurs dont le métier principal n'a pas grand chose à voir avec la restauration. Ce que j'aime particulièrement de cette émission, c'est la camaraderie qui existe entre les participants...Je m'explique. Bien sûr, c'est une compétition et il y a beaucoup à gagner, mais les participants sont soucieux les uns des autres. Lorsque quelqu'un fait un bon coup, tout le monde le félicite, et lorsque quelqu'un doit partir, on sent une honnête tristesse.... On n'entend pas de bêtises dirigées vers les participants et les sourires sont francs. On sent vraiment qu'il existe des liens d'amitié entre les participants.... je ne sais pas comment ça va finir, mais je sais que tous seront contents pour le ou la gagnante. Autre chose, les 3 juges.... 2 chefs et 1 critique gastronomique.... Ce que j'apprécie par dessus tout, c'est qu'ils tentent par tous les moyens de trouver quelque chose de positif dans chacun des plats même ceux qui sont ratés.... un exemple... Aujourd'hui, pour une élimination, les participants avaient à préparer des oeufs bénédictines.... pour qui a déjà fait une sauce hollandaise....il arrive parfois que la sauce se sépare...et c'est un désastre....et c'est arrivé à quelqu'un.... bien sûr, cette personne a dû quitter à la fin, mais, les juges lui ont quand même dit que ses oeufs étaient pochés à la perfection, que son montage était parfait et que même si elle s'était séparée, sa sauce était assaisonnée parfaitement.... elle aurait pu gagner si le désastre ne s'était pas produit.
Enfin, quand un participant doit quitter, les juges sont toujours très encourageants et prodiguent des conseils et orientent les participants dans la direction qui les fera évoluer davantage dans leur projet de carrière culinaire. En gros, c'est une émission très positive!
Maintenant, Un souper presque parfait.... le concept.... 5 personnes qui ne se connaissent pas se reçoivent à tour de rôle... 1 soir chacun...1 semaine d'émissions.... Le concept est intéressant... le gagnantde la semaine reçoit un prix intéressant en argent... jusque là, pas de problème... mais ce qui me déplait... premièrement les gens eux-mêmes à quelques exceptions près, les semaines se suivent et se ressemblent.... les participants dénigrent la nourriture qui leur est servie.... c'est franchement déplaisant. J'ai vu des plats qui ont été servis qui avaient le mérite d'être très beaux et à les regarder préparer, ils devaient être franchement bons, pas juste correct ou "sans saveur particulière". Ce sont les participants qui donnent les points pour le repas et évidemment, il y a un vainqueur à la fin de la semaine....
Quelques attitudes qui me dérangent.... si quelqu'un note bas parce que l'hôte a servi un plat de poisson et que la personne n'en mange pas....C'EST PAS LA FAUTE DU CUISINIER!!!!! Quand quelqu'un ne mange pas de quelque chose, c'est le problème de ce quelqu'un là et il peut très bien noter sur les autres plats en faisant abstraction du plat qu'il ne mange pas...
Autre chose.... les gens dont le métier ou la formation s'est faite en cuisine.... SVP APPRÉCIEZ L'EFFORT DES CONCURRENTS, ils n'ont peut-être pas eu la chance que vous avez eu, ce qui ne veut pas dire qu'ils ont servi quelque chose d'immangeable! Au lieu de dénigrer, pourquoi ne pas faire comme ce sommelier l'autre semaine qui partageait son savoir (bon d'accord, peut-être un peu trop) et qui enseignait les rudiments de la dégustation aux autres convives... j'ai trouvé ça très bien de sa part! Et parlant de ce sommelier, il était diabétique et l'a dit dès la première rencontre, tout en disant aux autres qu'ils n'avaient pas besoin de changer quoi que ce soi, c'était lui qui gérait son "sucre"... Il n'a quand même pas diminué les notes parce qu'ils avaient préparé du dessert! Le principe est que chacun fait son gros possible pour préparer le meilleur dîner qu'ils sont capables alors, bordel, un peu d'appréciation tout de même, on n'a pas tous les mêmes habiletés en cuisine!
Enfin, une autre chose qui me dérange vraiment beaucoup...les gens qui manquent de "tenue"... que ce soit par leurs propos qui frisent la vulgarité ou ceux qui frisent la méchanceté.... que ce soit parce qu'ils passent des commentaires au sujet de l'absence de l'hôte à table (on se rappelle que cette personne est à faire le repas!) ou parce que l'hôte a oublié de verser le vin ou que comme cette semaine, l'agressivité a monté parce que l'invité s'est fait offrir une tasse de thé, n'a pas répondu et que après son dessert, ce même invité a demandé du thé et s'est offensé parce que le thé était CHAUD... au point d'être déplaisant pour l'hôte... Je sais pas pour vous, mais moi, quand on m'offre du thé, premièrement, je réponds....et deuxièmement, je m'attends à ce que mon thé soit chaud...et enfin, même si la personne me sert mon thé dans autre chose que de la porcelaine fine, je ne m'en offusque pas! D'ailleurs, n'en déplaise aux puristes, j'aime bien que mon thé reste chaud longtemps et ce n'est pas dans une tasse de fantaisie qu'il le fera...le "mug" à café fait des miracles pour garder un breuvage chaud!
Pourquoi j'écoute encore cette émission? En fait je l'écoute de temps à autres parce que je tombe dessus, mais c'est surtout parce que dans le moment, la station TV vient de lancer un appel à tous pour la prochaine saison..... ce serait quand même une bonne amélioration si les gens adoptaient l'attitude australienne.... une très bonne amélioration même!
Voilà.... bon visionnement! et félicitations à tous ceux qui participent comme concurrents aux nombreuses émissions de télé! Vous m'impressionnez chaque fois que je vous regarde! Bravo!
Monday, 15 August 2011
Un autre souvenir....
Pour vous tous qui avez la dent sucrée, j'ai une super bonne gâterie pour vous. Laissez-moi vous raconter....
Mon amie Thérèse était sans doute la personne avec la dent la plus sucrée que je connaisse. Je me souviens qu'un vendredi d'été,lors d'un symposium de peinture, elle était venue me rejoindre pour dîner et nous étions allées chez Francesco à Bois-des-Fillion, qui servait à l'époque le meilleur poudding chômeur que j'ai jamais mangé. J'ignore s'ils le font encore de la même manière, mais à l'époque, la sauce du poudding chômeur était faite avec de la cassonade bien sûr, mais aussi de la crème à fouetter, beaucoup de crème à fouetter au lieu de l'eau traditionnelle.... c'est un péché de gourmandise rien que d'y penser. J'en avais abondamment parléà Thérèse l'année précédente lors de la première édition du symposium alors il n'en fallait pas plus pour qu'à la première occasion, nous y allions ensemble, question de confirmer que j'avais bien raison.
Donc, ce vendredi-là, nous allons dîner et évidemment, le dessert du jour, c'est le poudding chômeur. D'ailleurs, c'était la raison pour laquelle nous y allions vendredi parce que c'était le dessert du jour tous les vendredis. Je ne pense pas avoir besoin de vous dire que ledit dessert est extrêmement sucré et que les morceaux servis étaient assez petits mais ahhhhhh que c'était bon! J'ai mangé la moitié de mon morceau et je n'en pouvais plus! Il faut dire que je n'aime pas beaucoup le sucré et le gâteau, c'est pas vraiment ma tasse de thé non plus, mais j'adore le poudding chômeur... allez donc comprendre. Thérèse a mangé tout son morceau et a fini le mien.... et là, elle m'a regardée et m'a dit comme ça..."si je ne me retenais pas, j'en redemanderais un autre morceau!" J'ai éclaté de rire et lui ai répondu, pourquoi pas! Habituellement, on n'avait droit qu'à un seul morceau, mais comme ce vendredi particulier, il y avait eu un peu moins de clientèle que d'habitude, les habitués ayant préféré laisser la place aux artistes, Thérèse a eu droit à un autre morceau...Elle l'a savouré avec ce regard heureux de l'enfant qui mange une énorme boule de crème glacée.
Nous avons eu beaucoup de bons moments comme ça... malheureusement, la mort est venue la chercher beaucoup trop tôt...et oui, elle me manque encore beaucoup.
Thérèse ne cuisinait pas beaucoup, mais je me rappelle très bien de son riz frit au jambon que j'adorais.. mais ce dont je me rappelle encore plus, c'est son merveilleux caramel. Elle m'a donné sa recette il y a bien longtemps.... aujourd'hui, juste pour chasser le cafard, je veux vous la transmettre.. Cette recette vous donnera 4 pots de 500 ml que vous devez conserver au réfrigérateur... c'est la garniture parfaite pour des crêpes ou pour raviver un gâteau des anges... ou pour garnir des minis vol-au vents avec un peu de crème fouettée pour un dessert différent. Mais personnellement, je le préfère à la cuillère.... sans rien.... juste pour avoir une bouchée de velours à savourer!
Caramel maison de Thérèse
Mélanger ensemble et amener à ébullition:
2 tasses de sucre blanc (500 ml)
2 tasses de crème à cuisson 35% (500 ml)
2 tasses de cassonade dorée (500 ml)
Une fois que le mélange bouille, diminuer le feu à moyen et mijoter en brassant continuellement pendant 10 minutes. Retirer ensuite du feu et ajouter:
2 tasses de sirop de maïs (500 mlo)
5 à 6 gouttes d'essence d'érable
1 boîte de lait condensé sucré de type Eagle Brand
Bien mélanger... et... mettre en pot puis laisser refroidir. Fermez les pots et conservez au frigo. Peut se servir chaud ou froid et juste au cas où vous voudriez pousser la gourmandise.... 1 pot de 500 ml, c'est ce dont vous avez besoin pour garnir l'intérieur d'une tarte.... Imaginez... une tarte au caramel chaude avec une boule de crème glacée à la vanille qui fondtout doucement juste à côté....ahhhhhh.... du velours 5 étoiles!
Mon amie Thérèse était sans doute la personne avec la dent la plus sucrée que je connaisse. Je me souviens qu'un vendredi d'été,lors d'un symposium de peinture, elle était venue me rejoindre pour dîner et nous étions allées chez Francesco à Bois-des-Fillion, qui servait à l'époque le meilleur poudding chômeur que j'ai jamais mangé. J'ignore s'ils le font encore de la même manière, mais à l'époque, la sauce du poudding chômeur était faite avec de la cassonade bien sûr, mais aussi de la crème à fouetter, beaucoup de crème à fouetter au lieu de l'eau traditionnelle.... c'est un péché de gourmandise rien que d'y penser. J'en avais abondamment parléà Thérèse l'année précédente lors de la première édition du symposium alors il n'en fallait pas plus pour qu'à la première occasion, nous y allions ensemble, question de confirmer que j'avais bien raison.
Donc, ce vendredi-là, nous allons dîner et évidemment, le dessert du jour, c'est le poudding chômeur. D'ailleurs, c'était la raison pour laquelle nous y allions vendredi parce que c'était le dessert du jour tous les vendredis. Je ne pense pas avoir besoin de vous dire que ledit dessert est extrêmement sucré et que les morceaux servis étaient assez petits mais ahhhhhh que c'était bon! J'ai mangé la moitié de mon morceau et je n'en pouvais plus! Il faut dire que je n'aime pas beaucoup le sucré et le gâteau, c'est pas vraiment ma tasse de thé non plus, mais j'adore le poudding chômeur... allez donc comprendre. Thérèse a mangé tout son morceau et a fini le mien.... et là, elle m'a regardée et m'a dit comme ça..."si je ne me retenais pas, j'en redemanderais un autre morceau!" J'ai éclaté de rire et lui ai répondu, pourquoi pas! Habituellement, on n'avait droit qu'à un seul morceau, mais comme ce vendredi particulier, il y avait eu un peu moins de clientèle que d'habitude, les habitués ayant préféré laisser la place aux artistes, Thérèse a eu droit à un autre morceau...Elle l'a savouré avec ce regard heureux de l'enfant qui mange une énorme boule de crème glacée.
Nous avons eu beaucoup de bons moments comme ça... malheureusement, la mort est venue la chercher beaucoup trop tôt...et oui, elle me manque encore beaucoup.
Thérèse ne cuisinait pas beaucoup, mais je me rappelle très bien de son riz frit au jambon que j'adorais.. mais ce dont je me rappelle encore plus, c'est son merveilleux caramel. Elle m'a donné sa recette il y a bien longtemps.... aujourd'hui, juste pour chasser le cafard, je veux vous la transmettre.. Cette recette vous donnera 4 pots de 500 ml que vous devez conserver au réfrigérateur... c'est la garniture parfaite pour des crêpes ou pour raviver un gâteau des anges... ou pour garnir des minis vol-au vents avec un peu de crème fouettée pour un dessert différent. Mais personnellement, je le préfère à la cuillère.... sans rien.... juste pour avoir une bouchée de velours à savourer!
Caramel maison de Thérèse
Mélanger ensemble et amener à ébullition:
2 tasses de sucre blanc (500 ml)
2 tasses de crème à cuisson 35% (500 ml)
2 tasses de cassonade dorée (500 ml)
Une fois que le mélange bouille, diminuer le feu à moyen et mijoter en brassant continuellement pendant 10 minutes. Retirer ensuite du feu et ajouter:
2 tasses de sirop de maïs (500 mlo)
5 à 6 gouttes d'essence d'érable
1 boîte de lait condensé sucré de type Eagle Brand
Bien mélanger... et... mettre en pot puis laisser refroidir. Fermez les pots et conservez au frigo. Peut se servir chaud ou froid et juste au cas où vous voudriez pousser la gourmandise.... 1 pot de 500 ml, c'est ce dont vous avez besoin pour garnir l'intérieur d'une tarte.... Imaginez... une tarte au caramel chaude avec une boule de crème glacée à la vanille qui fondtout doucement juste à côté....ahhhhhh.... du velours 5 étoiles!
Sunday, 14 August 2011
Nouvel arrêt de notre tour dumonde
Attention attention, veuillez attacher vos ceintures, dans quelques instants,nous atterirons à Montevideo, capitale de l'Uruguay.
D'une superficie de 176220 km carrés, l,Uruguay est la patrie de près de 3309000 personnes. Un petit pays situé au sud du brésil et à l'est de L'Argentine qui baigne plus de 660 km de côte dans l'océan Atlantique. L'âge moyen de la population est de 33.6 ans, et l'espérance de vie est de 76.21 ans selon les statistiques 2011. On y parle Espagnol, José Mujica en est le président et la monnaie d'usage est le nouveau peso uruguayen.
Notre arrêt ici sera plutôt bref. Comme les précipitations sont abondantes ici, cela favorise l'élevage de boeuf et de mouton par rapport à la culture maraîchère. Les repas sont donc majoritairement à base de boeuf. Les influences portugaises et espagnoles sont nombreuses et on les sent un peu partout dans la gastronomie locale.
Bien que le boeuf soit roi, le plat que j'ai choisi de vous présenté est une salade de légumineuse. Comme c'est l'été et qu'il fait encore très chaud, une salade est toujours rafraîchissante, et celle-ci a aussi l'avantage d'être nourrissante.
Voici donc: la salade de légumineuse inspirée de l'Uruguay
Mélangez ensemble:
D'une superficie de 176220 km carrés, l,Uruguay est la patrie de près de 3309000 personnes. Un petit pays situé au sud du brésil et à l'est de L'Argentine qui baigne plus de 660 km de côte dans l'océan Atlantique. L'âge moyen de la population est de 33.6 ans, et l'espérance de vie est de 76.21 ans selon les statistiques 2011. On y parle Espagnol, José Mujica en est le président et la monnaie d'usage est le nouveau peso uruguayen.
Notre arrêt ici sera plutôt bref. Comme les précipitations sont abondantes ici, cela favorise l'élevage de boeuf et de mouton par rapport à la culture maraîchère. Les repas sont donc majoritairement à base de boeuf. Les influences portugaises et espagnoles sont nombreuses et on les sent un peu partout dans la gastronomie locale.
Bien que le boeuf soit roi, le plat que j'ai choisi de vous présenté est une salade de légumineuse. Comme c'est l'été et qu'il fait encore très chaud, une salade est toujours rafraîchissante, et celle-ci a aussi l'avantage d'être nourrissante.
Voici donc: la salade de légumineuse inspirée de l'Uruguay
Mélangez ensemble:
- 3 tasses de haricots rognons rouges
- 1 tasse de tomates épépinées en cubes
- 3/4 tasse d'oignon hachés fin
- 1/4 tasse de persil plat haché
- 3 c. à table de vinaigre de vin rouge
- 1/4 c. à thé de sel
- 1/2 c. à thé de poivre noir en poudre
- 1/2 c. à thé de flocons de piments forts
- 1 c.à thé d'origan séché
- 2 c. à table d'huile d'olive
Saturday, 13 August 2011
Une petite entrée pas compliquée!
Bonsoir,
Aujourd'hui, une chronique toute courte. J'étais chez ma fille pour le souper tout à l'heure et elle m'a demandé de préparer une petite entrée rapide. Elle avait une recette intéressante mais je l'ai modifiée en cours d'exécution.... voici le résultat:
1 pain ficelle que vous aurez tranché en tranches diagonales de 2 cm d'épaisseur
1 bloc de 200 gr de fromage feta
1/2 tasse de crème à fouetter épaisse
6 à 8 feuille de basilic frais
1 oignon vert
2 à 3 c. à table de câpres
poivre noir frais moulu
Déposer les tranches de pain sur une tôle à biscuits. Préchauffer le grill du four et assurez-vous que la grille soit à la position supérieure du four.
À l'aide d'une fourchette, émiettez le fromage feta et mélangez peu à peu la crème pour obtenir un mélange souple... ni trop sec, ni trop mouillé.
Hacher finement le basilic, l'oignon vert et les câpres, puis les ajouter au mélange de fromage.
Répartissez le tout sur les tranches de pain. Poivrez de poivre frais moulu et enfournez pour faire fondre le fromage. Cette opération prendra environ 5 minutes tout au plus.
Retirer du four et déposer dans les assiettes de service... il ne reste plus qu'à déguster.
Vous verrez, pas compliqué et très différent des canapés habituels. Bon appétit!
Aujourd'hui, une chronique toute courte. J'étais chez ma fille pour le souper tout à l'heure et elle m'a demandé de préparer une petite entrée rapide. Elle avait une recette intéressante mais je l'ai modifiée en cours d'exécution.... voici le résultat:
1 pain ficelle que vous aurez tranché en tranches diagonales de 2 cm d'épaisseur
1 bloc de 200 gr de fromage feta
1/2 tasse de crème à fouetter épaisse
6 à 8 feuille de basilic frais
1 oignon vert
2 à 3 c. à table de câpres
poivre noir frais moulu
Déposer les tranches de pain sur une tôle à biscuits. Préchauffer le grill du four et assurez-vous que la grille soit à la position supérieure du four.
À l'aide d'une fourchette, émiettez le fromage feta et mélangez peu à peu la crème pour obtenir un mélange souple... ni trop sec, ni trop mouillé.
Hacher finement le basilic, l'oignon vert et les câpres, puis les ajouter au mélange de fromage.
Répartissez le tout sur les tranches de pain. Poivrez de poivre frais moulu et enfournez pour faire fondre le fromage. Cette opération prendra environ 5 minutes tout au plus.
Retirer du four et déposer dans les assiettes de service... il ne reste plus qu'à déguster.
Vous verrez, pas compliqué et très différent des canapés habituels. Bon appétit!
Thursday, 11 August 2011
Souvenir de Voyage
Cet été, je suis allée à Cuba pendant 1 semaine...Oh, il faisait très chaud, très beau, les moustiques étaient légion et l'eau était magnifique! On a eu droit à de la pluie abondante en fin de journée et un peu de vent... bref, rien pour déranger la période obligatoire de bronzage et de baignade.
Je ne suis pas très fan des formules tout inclus. En fait, je m'en accomode, mais si on me donnait le choix à prix égal, je ne pense pas que ce serait mon premier choix. Plusieurs raisons motivent ma position. La première étant....je ne bois pas d'alcool ou très peu.... Vous me direz que ce n'est pas nécessaire, mais si je me fie à ce que j'ai vu et entendu au fil des années, c'est un des grands "plaisirs du tout inclus". La deuxième est un peu différente. En fait, je reviens directement à mon expérience de Cuba. A l'hôtel, la nourriture était correcte... sans plus. Je n'ai mangé aucun repas exceptionnel ni aucun repas vraiment moche. Tout était correct et je dois dire exactement comme ce que je m'attendais. J'admire la créativité des cubains considérant le manque de tout mais....et voici donc mon problème avec le tout inclus... L'hotel était relativement isolé, c'est à dire que tout ce qui nous entourait c'était des hotels tout inclus aussi... et comme chacun a ses propres bracelets pour identifier que tu es client.... pas question d'aller manger dans un autre hotel. De plus, là où j'étais, il n'y avait rien à moins de se taper 1 heure de taxi pour se retrouver dans la ville voisine où, pour y avoir passé quelques heures, les restaurants visibles sont rares... donc... pour en dénicher un digne de ce nom autre qu'un casse-croûte... bonne chance!
Loin de moi l'idée de me plaindre de la qualité des restaurants de l'hotel, mais je trouve triste de ne pas pouvoir élargir mes horizons de touriste au delà des murs de l'établissement où je dors...
Pourquoi je vous parle de ça ce soir et pas au retour de mes vacances? En fait, il y avait à l'hotel un magasin de souvenirs et commodités essentielles genre Rhum, jus, grignotines, shampoing et traitement pour les cheveux, t-shirts à l'effigie de Che et autres bricoles pour touristes. J'avoue que je suis accro au chips et autres grignotines salées du genre... tout ce qui fait "crounche" et qui a une saveur intéressante attire mon attention....
Au Québec, on a des "crottes au fromage", ce que nos amis anglophones appellent des cheese stix... une sorte de truc fait à base de farine de maïs recouvert de poudre de fromage non-identifié d'un beau orange vif...rien de bon pour la santé, mais c'est salé et j'aime ça! Donc, je suis dans ledit magasin de souvenirs et qu'est-ce que je vois, au beau milieu de l'étalage réduit, très réduit même, de sacs de chips... quelque chose qui ressemble étrangement aux "crottes au fromage"...Des Curly Peanut Classic... je ne connais pas ça... hmmm et sur le sac on dit que c'est fait avec des arachides fraîches moulues.... bon...ça semble vouloir faire crounche et j'aime bien les arachides... je le prends.
J'ai été séduite à la première bouchée... oui, ça répond à toute mes attentes pour une grignotine... Croquante, salé, léger... et qu'on mange de façon automatique et amnésique (on ne se rappelle jamais combien on a pu en avaler!). Je me confesse, j'en ai acheté plusieurs sacs pendant la semaine.... avec un bon livre, c'est absolument parfait! Contrairement au fromage orange, les arachides ne tachent pas les doigts (et oui, c'est bien des arachides, pas seulement de la poudre aromatisée à) et, autre avantage sur le fromage, on se sent rassasié bien avant d'avoir vidé le sac.
Si je vous en parle aujourd'hui, c'est que j'ai rapporté 2 sacs de ces fabuleuse "cochonneries" en me disant que j'en chercherais à Montréal en revenant, et j'étais assez en confiante d'en trouver puisqu'elles ne sont pas faite à Cuba mais bien en Allemagne. Aujourd'hui, je viens d'ouvrir un sac, pendant que je vous écris. C'est encore aussi bon que lorsque j'étais là-bas et oui, j'en ai trouvé à Montréal! La compagnie qui fait cette merveilleuse grignotine, c'est la compagnie Lorenz. Ils ont un site internet, comme la majorité des compagnies maintenant et je vous invite à aller regarder la gamme de produits qu'ils fabriquent.... bien sûr, loin de moi l'idée de vous dire que ce sont des aliments-santé, ce n'est absolument pas le cas...mais si voulez juste assouvir votre curiosité... alors voici l'adresse... www.lorenz-snackworld.com
Comme quoi, un tout-inclus peut aussi apporter quelques surprises....
Je ne suis pas très fan des formules tout inclus. En fait, je m'en accomode, mais si on me donnait le choix à prix égal, je ne pense pas que ce serait mon premier choix. Plusieurs raisons motivent ma position. La première étant....je ne bois pas d'alcool ou très peu.... Vous me direz que ce n'est pas nécessaire, mais si je me fie à ce que j'ai vu et entendu au fil des années, c'est un des grands "plaisirs du tout inclus". La deuxième est un peu différente. En fait, je reviens directement à mon expérience de Cuba. A l'hôtel, la nourriture était correcte... sans plus. Je n'ai mangé aucun repas exceptionnel ni aucun repas vraiment moche. Tout était correct et je dois dire exactement comme ce que je m'attendais. J'admire la créativité des cubains considérant le manque de tout mais....et voici donc mon problème avec le tout inclus... L'hotel était relativement isolé, c'est à dire que tout ce qui nous entourait c'était des hotels tout inclus aussi... et comme chacun a ses propres bracelets pour identifier que tu es client.... pas question d'aller manger dans un autre hotel. De plus, là où j'étais, il n'y avait rien à moins de se taper 1 heure de taxi pour se retrouver dans la ville voisine où, pour y avoir passé quelques heures, les restaurants visibles sont rares... donc... pour en dénicher un digne de ce nom autre qu'un casse-croûte... bonne chance!
Loin de moi l'idée de me plaindre de la qualité des restaurants de l'hotel, mais je trouve triste de ne pas pouvoir élargir mes horizons de touriste au delà des murs de l'établissement où je dors...
Pourquoi je vous parle de ça ce soir et pas au retour de mes vacances? En fait, il y avait à l'hotel un magasin de souvenirs et commodités essentielles genre Rhum, jus, grignotines, shampoing et traitement pour les cheveux, t-shirts à l'effigie de Che et autres bricoles pour touristes. J'avoue que je suis accro au chips et autres grignotines salées du genre... tout ce qui fait "crounche" et qui a une saveur intéressante attire mon attention....
Au Québec, on a des "crottes au fromage", ce que nos amis anglophones appellent des cheese stix... une sorte de truc fait à base de farine de maïs recouvert de poudre de fromage non-identifié d'un beau orange vif...rien de bon pour la santé, mais c'est salé et j'aime ça! Donc, je suis dans ledit magasin de souvenirs et qu'est-ce que je vois, au beau milieu de l'étalage réduit, très réduit même, de sacs de chips... quelque chose qui ressemble étrangement aux "crottes au fromage"...Des Curly Peanut Classic... je ne connais pas ça... hmmm et sur le sac on dit que c'est fait avec des arachides fraîches moulues.... bon...ça semble vouloir faire crounche et j'aime bien les arachides... je le prends.
J'ai été séduite à la première bouchée... oui, ça répond à toute mes attentes pour une grignotine... Croquante, salé, léger... et qu'on mange de façon automatique et amnésique (on ne se rappelle jamais combien on a pu en avaler!). Je me confesse, j'en ai acheté plusieurs sacs pendant la semaine.... avec un bon livre, c'est absolument parfait! Contrairement au fromage orange, les arachides ne tachent pas les doigts (et oui, c'est bien des arachides, pas seulement de la poudre aromatisée à) et, autre avantage sur le fromage, on se sent rassasié bien avant d'avoir vidé le sac.
Si je vous en parle aujourd'hui, c'est que j'ai rapporté 2 sacs de ces fabuleuse "cochonneries" en me disant que j'en chercherais à Montréal en revenant, et j'étais assez en confiante d'en trouver puisqu'elles ne sont pas faite à Cuba mais bien en Allemagne. Aujourd'hui, je viens d'ouvrir un sac, pendant que je vous écris. C'est encore aussi bon que lorsque j'étais là-bas et oui, j'en ai trouvé à Montréal! La compagnie qui fait cette merveilleuse grignotine, c'est la compagnie Lorenz. Ils ont un site internet, comme la majorité des compagnies maintenant et je vous invite à aller regarder la gamme de produits qu'ils fabriquent.... bien sûr, loin de moi l'idée de vous dire que ce sont des aliments-santé, ce n'est absolument pas le cas...mais si voulez juste assouvir votre curiosité... alors voici l'adresse... www.lorenz-snackworld.com
Comme quoi, un tout-inclus peut aussi apporter quelques surprises....
Tuesday, 9 August 2011
Déjà la 100e....
Et oui déjà la 100e... J'ai jonglé toute la journée à ce dont j'étais pour vous parler aujourd'hui, et il ne me venait pas d'idée... jusqu'à ce soir... et là, ça vient de me frapper....
Depuis quelques temps, je me plais à regarder mes jeunes faire leurs expériences culinaires... Ça me rappelle l'été de mes 16 ans, lorsque j'ai décidé d'apprendre à cuisiner... Oh, je savais bien faire cuire un oeuf, à la limite un sandwich au fromage grillé, mais ça se limitait à peu près à ça....
Un matin, je me suis levée et ça y était, c'était le moment où j'ai décidé que j'apprendrais par moi-même à faire cuire tout ce que je voulais. Ce matin-là, j'ai dit à ma mère d'aller s'occuper à faire autre chose, que j'envahissais la cuisine et que si j'avais besoin d'aide, j'irais lui demander, mais je ne voulais surtout pas qu'elle soit là pour me regarder faire.
J'avais bien vu des dizaines d'émissions de cuisines.... à l'époque il y avait What's Cooking avec Ruth Fremes, The Galopping Gourmet avec Graham Kerr, Juliette Huot à l'émission de 5 à 6, et bien d'autres en français comme en anglais.... alors les techniques de bases, je les avais vues nombre de fois, mais je ne m'étais jamais essayée...
Je pense bien que j'ai du commencer par éplucher quelques livres avant de tomber sur LA recette que je voulais faire pour ma grande première.... Qu'est-ce que c'était? Je n'en ai plus le moindre souvenir... Une chose est certaine, ça devait être vraiment réussi parce qu'à partir de ce jour, et ce, pendant tout l'été, je me suis mise au fourneau midi et soir, tous les jours....
Et chaque jour, je cuisinais quelque chose de différent... en fait, j'ai souvenir d'une seule fois ou j'ai vraiment raté mon coup...j'ai fait quelque chose de totalement immangeable... pourtant, selon la liste des ingrédients ça aurait dû être vraiment bon...enfin... j'imagine que ça prend des échecs pour avoir des succès.... et cettes fois-là, c'était un plat de saucisses qui ont causé ma perte!
Aujourd'hui, je regarde mes enfants qui font eux aussi leurs tentatives.... ce soir, au beau milieu de la soirée, ma fille a décidé qu'elle voulait des pêches pochées au vin... juste comme ça, pour le plaisir... Pourquoi pas? C'est comme ça qu'on apprend.... en pratiquant... et qui de mieux que maman pour faire le cobaye.... je l'ai dit... je mange de tout ou presque et je tente de donner des critiques les plus constructives possibles.... et les pêches? ma foi.... la petite, elle a de l'avenir!
Elle m'a donné sa recette juste pour que je la mette dans mon article, juste pour le plaisir...
Dans une casserole, amener à ébullition:
1 tasse de vin rosé pas besoin qu'il soit de grande qualité, bien ordinaire et un peu sucré de préférence
1 tasse de jus de canneberge et framboise
le jus de 1/2 citron
3 clous de girofle
1 bâton de cannelle
1 feuille de laurier
Peler des pêches ou des poires... retirer le coeur des poires avec une parisienne (la petite cuillère pour faire des boules de melon....oui,oui, ça s'appelle une parisienne!)... Pour les pêches c'est trop compliqué de retirer le noyau alors on le laisse en place.
Déposer les fruits dans le mélange de jus et s'assurer que les fruits sont couverts. Faire mijoter pendant 30 à 45 minutes selon les fruits utilisés, sans couvrir. Il faut que les fruits soient cuits, mais qu'ils ne se défassent pas en compote.
Après la cuisson des fruits, on les retire du mélange de vin et on les mets dans les bols de service. On laisse mijoter le vin encore une dizaine de minutes et on verse sur les fruits.... il ne reste qu'à déguster.
Voilà... c'est la recette de ma fille...
Et si vous vous sentez braves, vous pourriez essayer avec d'autres fruits.... des pommes Cortland dont vous aurez retiré le coeur (les Cortland gardent bien leur forme en cuisant ce qui n'est pas le cas de tous les fruits... Vous pourriez aussi expérimenter avec d'autres jus de fruits, ou d'autres épices... les piments de la Jamaïque (Allspice) par exemple ou quelque chose que j'ai découvert: le poivre de Cubèbe... saupoudré sur le produit final, ça devrait lui donner un goût hors du commun. Vous trouverez le poivre de Cubèbe dans les magasins de spécialité, entier à râper ou en poudre.... parfois, il s'appelle le poivre à fruits... c'est un ingrédient intéressant à explorer
Parfois, il suffit d'un grand succès au départ pour donner le coup d'envoi à une grande passion!
Depuis quelques temps, je me plais à regarder mes jeunes faire leurs expériences culinaires... Ça me rappelle l'été de mes 16 ans, lorsque j'ai décidé d'apprendre à cuisiner... Oh, je savais bien faire cuire un oeuf, à la limite un sandwich au fromage grillé, mais ça se limitait à peu près à ça....
Un matin, je me suis levée et ça y était, c'était le moment où j'ai décidé que j'apprendrais par moi-même à faire cuire tout ce que je voulais. Ce matin-là, j'ai dit à ma mère d'aller s'occuper à faire autre chose, que j'envahissais la cuisine et que si j'avais besoin d'aide, j'irais lui demander, mais je ne voulais surtout pas qu'elle soit là pour me regarder faire.
J'avais bien vu des dizaines d'émissions de cuisines.... à l'époque il y avait What's Cooking avec Ruth Fremes, The Galopping Gourmet avec Graham Kerr, Juliette Huot à l'émission de 5 à 6, et bien d'autres en français comme en anglais.... alors les techniques de bases, je les avais vues nombre de fois, mais je ne m'étais jamais essayée...
Je pense bien que j'ai du commencer par éplucher quelques livres avant de tomber sur LA recette que je voulais faire pour ma grande première.... Qu'est-ce que c'était? Je n'en ai plus le moindre souvenir... Une chose est certaine, ça devait être vraiment réussi parce qu'à partir de ce jour, et ce, pendant tout l'été, je me suis mise au fourneau midi et soir, tous les jours....
Et chaque jour, je cuisinais quelque chose de différent... en fait, j'ai souvenir d'une seule fois ou j'ai vraiment raté mon coup...j'ai fait quelque chose de totalement immangeable... pourtant, selon la liste des ingrédients ça aurait dû être vraiment bon...enfin... j'imagine que ça prend des échecs pour avoir des succès.... et cettes fois-là, c'était un plat de saucisses qui ont causé ma perte!
Aujourd'hui, je regarde mes enfants qui font eux aussi leurs tentatives.... ce soir, au beau milieu de la soirée, ma fille a décidé qu'elle voulait des pêches pochées au vin... juste comme ça, pour le plaisir... Pourquoi pas? C'est comme ça qu'on apprend.... en pratiquant... et qui de mieux que maman pour faire le cobaye.... je l'ai dit... je mange de tout ou presque et je tente de donner des critiques les plus constructives possibles.... et les pêches? ma foi.... la petite, elle a de l'avenir!
Elle m'a donné sa recette juste pour que je la mette dans mon article, juste pour le plaisir...
Dans une casserole, amener à ébullition:
1 tasse de vin rosé pas besoin qu'il soit de grande qualité, bien ordinaire et un peu sucré de préférence
1 tasse de jus de canneberge et framboise
le jus de 1/2 citron
3 clous de girofle
1 bâton de cannelle
1 feuille de laurier
Peler des pêches ou des poires... retirer le coeur des poires avec une parisienne (la petite cuillère pour faire des boules de melon....oui,oui, ça s'appelle une parisienne!)... Pour les pêches c'est trop compliqué de retirer le noyau alors on le laisse en place.
Déposer les fruits dans le mélange de jus et s'assurer que les fruits sont couverts. Faire mijoter pendant 30 à 45 minutes selon les fruits utilisés, sans couvrir. Il faut que les fruits soient cuits, mais qu'ils ne se défassent pas en compote.
Après la cuisson des fruits, on les retire du mélange de vin et on les mets dans les bols de service. On laisse mijoter le vin encore une dizaine de minutes et on verse sur les fruits.... il ne reste qu'à déguster.
Voilà... c'est la recette de ma fille...
Et si vous vous sentez braves, vous pourriez essayer avec d'autres fruits.... des pommes Cortland dont vous aurez retiré le coeur (les Cortland gardent bien leur forme en cuisant ce qui n'est pas le cas de tous les fruits... Vous pourriez aussi expérimenter avec d'autres jus de fruits, ou d'autres épices... les piments de la Jamaïque (Allspice) par exemple ou quelque chose que j'ai découvert: le poivre de Cubèbe... saupoudré sur le produit final, ça devrait lui donner un goût hors du commun. Vous trouverez le poivre de Cubèbe dans les magasins de spécialité, entier à râper ou en poudre.... parfois, il s'appelle le poivre à fruits... c'est un ingrédient intéressant à explorer
Parfois, il suffit d'un grand succès au départ pour donner le coup d'envoi à une grande passion!
Monday, 8 August 2011
Pour les amoureux du pain!
Vous aimez le pain frais, vous savez, celui qui sent si bon à la boulangerie, ou celui qui attire votre nez dès que vous entrez à l'épicerie.... Et bien, moi aussi!
D'ailleurs c'était le sujet de ma toute première chronique.... vous vous rappelez de mon pain paresseux?
Aujourd'hui, la recette que je veux vous partager, je la tiens d'un vieux bouquin... ben... pas si vieux que ça... 1973 l'année de publication... ça fait près de 40 ans... ouffff! et dire que je l'ai acheté 2 ou 3 ans après sa publication....Le nom... Beard on Bread, du chef James Beard. Au fait, vous le connaissez?
James Beard est né en 1903 à Portland en Oregon. Alors qu'il visait à une carrière au théâtre et au cinéma, il cherchait un moyen pour subvenir à ses besoins.... il a donc ouvert un petit resto doublé d'un service de traiteur pour servir de bouchées lors des premières.... et sa carrière de cuisinier a pris son envol. Son premier livre de recettes est publié en 1940 et porte sur les canapés et hors d'oeuvres... deux ans plus tard, il est suivi par un autre sur la cuisine à l'extérieur. Il est un des grands précurseurs et promoteurs d'une révolution alimentaires américaine qui redonne ses lettres de noblesse à la cuisine traditionnelle régionale et qui vise la qualité par la fraicheur et l'utilisation des produits locaux et des marchés publics. Il a publié plus de 26 livres de recettes et de nombreuses publications dans les journaux, revues et autre publications spécialisées.
En 1954, il est nommé "doyen de la cuisine américaine" par le très respecté New York times. Il a aussi ouvert une école de cuisine célèbre encore aujourd'hui et une fondation dont les objectifs sont de mettre en valeur, chérir et préserver la diversité de l'héritage culturel culinaire américain et d'en assurer l'avenir, porte maintenant son nom. Recevoir un prix de la fondation James Beard est un très grand honneur et tous les chefs américains rêvent d'en recevoir un. Il est décédé à l'âge de 81 ans laissant derrière lui cette passion qu'il a insufflé à des centaines de cuisiniers et de chefs partout à travers le monde et plus spécialement encore aux Etats-Unis.
Après ces quelques notes culturelles.... je disais qu'aujourd'hui... j'ai fait du pain...encore... différent cette fois-ci puisqu'il s'agit d'un pain au fromage.... vous aimez? Moi aussi! Beaucoup!!!! Je vous laisse la recette... mais je vous préviens tout de suite... j'ai utilisé mon mélangeur sur socle (KitchenAid modèle Professionnel 5 plus) pour le faire. Vous pouvez aussi réaliser le même pain en pétrissant votre pâte à la main... c'est ce que je faisais auparavant. J'avoue que le mélangeur fait des merveilles!
Pain au fromage:
1 enveloppe de levure sèche de type Fleishman
1 c.à table de sucre
1 3/4 tasse d'eau tiède
5 à 6 tasses de farine tout usage.... (j'ai utilisé 5 tasses de farine à pain)
1 c.à table de sel
1/4 tasse de beurre mou (j'ai utilisé 1/4 de tasse d'huile d'olive)
1 c. à thé de Tabasco (j'ai utilisé une sauce similaire au Habanero)
1/4 tasse de Parmesan frais râpé
3/4 tasse de cheddar fort râpé
Dissoudre la levure dans 1/4 tasse d'eau tiède mélangée avec le sucre. Laisser reposer 10 minutes.
Déposer 5 tasses de farine et le sel dans un grand bol (ou le bol du mélangeur) et faire un puit au centre.
Mélanger ensemble 1 1/2 tasse d'eau tiède, l'huile, le tabasco et le mélange de levure.
Verser dans le puits et en faisant des mouvements rotatifs avec les mains ou une cuillère incorporer peu à peu la farine. (ou démarrer le mélangeur et laisser les ingrédient s'amalgamer) pour former une boule molle.
Pétrir ensuite pendant 10 à 12 minutes sur une surface enfarinée en ajoutant un peu de farine si nécessaire (environ 1/2 tasse sera nécessaire pour éviter que ça colle à la surface) ou encore, laisser le mélangeur faire l'ouvrage pendant 10 minutes.
Mettez la boule de pâte qui maintenant sera lisse et élastique, mais encore un peu molle, dans un bol bien beurré (ou huilé) et tourner la pâte pour bien l'enrober. Recouvrir d'une pellicule plastique et laisser lever pendant 1 1/2 à 2 heures.
Abaisser ensuite la pâte et remettez-la suir une surface enfarinée (ou le bol de votre mélangeur). Ajouter les fromages peu à peu jusqu'à ce qu'ils soient répartis uniforméments en pétrissant (ou en faisant marcher le mélangeur à basse vitesse)
Ici vous pouvez choisir de faire 2 petits pains (moules de 8 po x 4 po x 2 po)en coupant la pâte et en faisant 2 boules ou n'en faire qu'un seul.... J'ai opté pour 1 seul gros pain (10 po x 4 1/2 po x 3 po)... donc... l'idée est de faire un rectangle plat de la longueur du moule choisi, ensuite on roule et on replie les extrémités sous le pain. Évidemment, le joint se retrouve aussi sous le pain. On dépose alors dans les moules préalablement bien beurrés (ou des moules de silicone comme ceux que j'utilise... pas besoin de beurrer, c'est magique!)
Ensuite, on laisse lever au moins 1 heure, et on fait cuire au centre du four à 375 F pendant 30 minutes pour les petits pains ou 45 minutes pour le gros pain. Pour vérifier si le pain est prêt, tout d'abord, la croûte doit être bien dorée et ensuite, le pain sonne "creux" si on tape légèrement le dessous avec le doigt.
Démouler et faire refroidir sur une grille... et maintenant... essayez de résister à l'odeur du pain frais.... le pain doit refroidir avant d'être tranché sinon, la mie se déchire plutôt que de se couper....mais c'est aussi très bon... moins élégant, mais très très bon.... avec du bon beurre froid! bon ça y est... je me remets à saliver.....
D'ailleurs c'était le sujet de ma toute première chronique.... vous vous rappelez de mon pain paresseux?
Aujourd'hui, la recette que je veux vous partager, je la tiens d'un vieux bouquin... ben... pas si vieux que ça... 1973 l'année de publication... ça fait près de 40 ans... ouffff! et dire que je l'ai acheté 2 ou 3 ans après sa publication....Le nom... Beard on Bread, du chef James Beard. Au fait, vous le connaissez?
James Beard est né en 1903 à Portland en Oregon. Alors qu'il visait à une carrière au théâtre et au cinéma, il cherchait un moyen pour subvenir à ses besoins.... il a donc ouvert un petit resto doublé d'un service de traiteur pour servir de bouchées lors des premières.... et sa carrière de cuisinier a pris son envol. Son premier livre de recettes est publié en 1940 et porte sur les canapés et hors d'oeuvres... deux ans plus tard, il est suivi par un autre sur la cuisine à l'extérieur. Il est un des grands précurseurs et promoteurs d'une révolution alimentaires américaine qui redonne ses lettres de noblesse à la cuisine traditionnelle régionale et qui vise la qualité par la fraicheur et l'utilisation des produits locaux et des marchés publics. Il a publié plus de 26 livres de recettes et de nombreuses publications dans les journaux, revues et autre publications spécialisées.
En 1954, il est nommé "doyen de la cuisine américaine" par le très respecté New York times. Il a aussi ouvert une école de cuisine célèbre encore aujourd'hui et une fondation dont les objectifs sont de mettre en valeur, chérir et préserver la diversité de l'héritage culturel culinaire américain et d'en assurer l'avenir, porte maintenant son nom. Recevoir un prix de la fondation James Beard est un très grand honneur et tous les chefs américains rêvent d'en recevoir un. Il est décédé à l'âge de 81 ans laissant derrière lui cette passion qu'il a insufflé à des centaines de cuisiniers et de chefs partout à travers le monde et plus spécialement encore aux Etats-Unis.
Après ces quelques notes culturelles.... je disais qu'aujourd'hui... j'ai fait du pain...encore... différent cette fois-ci puisqu'il s'agit d'un pain au fromage.... vous aimez? Moi aussi! Beaucoup!!!! Je vous laisse la recette... mais je vous préviens tout de suite... j'ai utilisé mon mélangeur sur socle (KitchenAid modèle Professionnel 5 plus) pour le faire. Vous pouvez aussi réaliser le même pain en pétrissant votre pâte à la main... c'est ce que je faisais auparavant. J'avoue que le mélangeur fait des merveilles!
Pain au fromage:
1 enveloppe de levure sèche de type Fleishman
1 c.à table de sucre
1 3/4 tasse d'eau tiède
5 à 6 tasses de farine tout usage.... (j'ai utilisé 5 tasses de farine à pain)
1 c.à table de sel
1/4 tasse de beurre mou (j'ai utilisé 1/4 de tasse d'huile d'olive)
1 c. à thé de Tabasco (j'ai utilisé une sauce similaire au Habanero)
1/4 tasse de Parmesan frais râpé
3/4 tasse de cheddar fort râpé
Dissoudre la levure dans 1/4 tasse d'eau tiède mélangée avec le sucre. Laisser reposer 10 minutes.
Déposer 5 tasses de farine et le sel dans un grand bol (ou le bol du mélangeur) et faire un puit au centre.
Mélanger ensemble 1 1/2 tasse d'eau tiède, l'huile, le tabasco et le mélange de levure.
Verser dans le puits et en faisant des mouvements rotatifs avec les mains ou une cuillère incorporer peu à peu la farine. (ou démarrer le mélangeur et laisser les ingrédient s'amalgamer) pour former une boule molle.
Pétrir ensuite pendant 10 à 12 minutes sur une surface enfarinée en ajoutant un peu de farine si nécessaire (environ 1/2 tasse sera nécessaire pour éviter que ça colle à la surface) ou encore, laisser le mélangeur faire l'ouvrage pendant 10 minutes.
Mettez la boule de pâte qui maintenant sera lisse et élastique, mais encore un peu molle, dans un bol bien beurré (ou huilé) et tourner la pâte pour bien l'enrober. Recouvrir d'une pellicule plastique et laisser lever pendant 1 1/2 à 2 heures.
Abaisser ensuite la pâte et remettez-la suir une surface enfarinée (ou le bol de votre mélangeur). Ajouter les fromages peu à peu jusqu'à ce qu'ils soient répartis uniforméments en pétrissant (ou en faisant marcher le mélangeur à basse vitesse)
Ici vous pouvez choisir de faire 2 petits pains (moules de 8 po x 4 po x 2 po)en coupant la pâte et en faisant 2 boules ou n'en faire qu'un seul.... J'ai opté pour 1 seul gros pain (10 po x 4 1/2 po x 3 po)... donc... l'idée est de faire un rectangle plat de la longueur du moule choisi, ensuite on roule et on replie les extrémités sous le pain. Évidemment, le joint se retrouve aussi sous le pain. On dépose alors dans les moules préalablement bien beurrés (ou des moules de silicone comme ceux que j'utilise... pas besoin de beurrer, c'est magique!)
Ensuite, on laisse lever au moins 1 heure, et on fait cuire au centre du four à 375 F pendant 30 minutes pour les petits pains ou 45 minutes pour le gros pain. Pour vérifier si le pain est prêt, tout d'abord, la croûte doit être bien dorée et ensuite, le pain sonne "creux" si on tape légèrement le dessous avec le doigt.
Démouler et faire refroidir sur une grille... et maintenant... essayez de résister à l'odeur du pain frais.... le pain doit refroidir avant d'être tranché sinon, la mie se déchire plutôt que de se couper....mais c'est aussi très bon... moins élégant, mais très très bon.... avec du bon beurre froid! bon ça y est... je me remets à saliver.....
Sunday, 7 August 2011
Vite fait, bien fait et..... savoureux!
Je veux vous parler d'un autre de mes gadgets de cuisine.... le grille-panini! Quand j'étais enfant, ma mère avait un de ces "machins électriques" chromé, avec des plaques chauffantes en acier inoxidable qui vous écrasait les "grilled cheese" à la perfection!
J'adorais quand elle le sortait, mais c'était si compliqué à nettoyer que l'appareil restait trop souvent dans l'armoire! Mon plus grand bonheur, c'est lorsqu'elle faisait des hot dogs grillés et des hamburgers et qu'elle utilisait son "machin électrique" pour faire griller ses pains bien badigeonner de beurre pour ne pas coller, et qui s'applatissaient sous l'action de la chaleur et....avec un peu de persuasion de la part de ma mère.... Quel bonheur de recevoir ces pains aussi mince que des crèpes croustillants à l'extérieur et tellement meilleurs que s'ils avaient été cuits dans la poêle... du moins c'est ce que je pensais à l'époque.
Il n'y a plus de ces "machins électriques"... maintenant, ce sont des gaufriers avec plaques amovibles, les plaques sont enduites de teflon et sincèrement, ils n'ont pas le même charme que cet appareil qui faisait office de miroir à la petite fille que j'étais quand les pains cuisaient... Ah...la nostalgie....
Il y a quelques années, la mode du café, Panini grillé s'est développée. C'est beaucoup plus élaboré que le grilled cheese de mon enfance, mais l'idée générale est là.... Et si George Foreman a été le précurseur avec son gril burger qui "éliminait tout le gras" à cause de l'inclinaison de ses plaques, l'idée a été reprise par beaucoup de fabricants. Le gril qui a réussi à enter chez nous est de marque Breville. Il est de forme carrée pour plus de surface de cuisson, Il a aussi un thermostat réglable pour les différentes choses que je voudrais y griller et finalement, le couvercle est assez lourd pour faire une pression sur les aliments et est muni d'un système de réglage de pression, pour ne pas que la nourriture se transforme en galette... Et c'est un gril à rainures..... donc, pas question d'y faire un grilled cheese galette....Mais... quand l'envie me prend, un bon pannini grillé au poulet, pesto et fromage brie.... il n'y a rien qui peut battre ça.
Tout d'abord, ça vous prend du bon pesto.... Aujourd'hui, j'ai fait le miens, mais si vous n'avez pas de basilic frais sous la main, le pesto de la compagnie Le Grand, vendue en sachets munies d'un bec verseur refermable, qu'on retrouve dans le comptoir réfrigérer près des sauces à spaghetti maison en général, est une très bonne alternative.
Pour faire un bon Pesto al Genovese, vous aurez besoin de:
2 tasses de feuilles de basilic bien tassées
1/4 tasse de pignons (noix de pin) ou ....de noix de grenoble, mais c'est moins bon
1/4 tasse d'un bon fromage Parmesan frais râpé.... du Parmeggiano Reggiano si vous en trouvez
1 gousse d'ail
1/2 à 3/4 de tasse d'une bonne huile d'olive pressée à froid
J'insiste sur l'huile d'olive, elle doit vous plaire au goût sinon, votre pesto en souffrira. Comme on a tous des goûts différents, je préfère ne pas vous suggérer une marque plutôt qu'une autre, mais ne lésinez pas sur la qualité de votre huile.
Si vous avez un mélangeur (blender), déposez environ la moitié de l'huile dans le fond de la jarre. Ensuite, l'ail pui ajoutez le basilic, puis les pignons et enfin le fromage. Faites fonctionner votre mélangeur pour réduire en purée... vous devrez probablement ajouter de l'huile pour obtenir une belle consistance lisse.Ne vous en faites pas si vous mettez plus d'huile que prévu dans la recette.. Ranger au frigo dans un bocal hermétique. Votre Pesto va probablement se séparer en ce sens que l"huile excédentaire montera à la surface tandis que les solides vont se déposer au fond du bocal... Pas de problème. Retirer simplement le surplus d'huile et conservez-le pour votre prochaine vinaigrette ou pour assaisonner un poisson poché.... c'est vraiment très bon et ça évite le gaspillage. Ah et oui, j'oubliais 2 détails.... Votre pesto s'oxydera s'il reste trop longtemps au frigo, c'est normal, mais moins joli.... vous n'avez qu'à bien remuer et il retrouvera une bonne partie de sa belle couleur verte. Autre chose... Le pesto se congèle très bien... vous pouvez le faire geler dans des bacs à glaçon, transférer les cubes dans des sacs à congélation et ne sortir que la quantité dont vous avez besoin au fur et à mesure. Si vous avez une source d'approvisionnement abondante en Basilic, ça pourrait être très intéressant pour les mois d'hiver.
Je me demandais.... est-ce que vous achetez des poulets rotis à l'épicerie? Moi, ça m'arrive souvent... En général, je regarde pour ceux qui sont déjà cuits et réfrigérés... ils sont souvent moins dispendieux et finalement, si c'est pour faire un sandwich, je n'ai vraiment pas besoin qu'il soint chaud. Normalement, je le désosse, j'enlève la peau et le gras et je garde tout ça pour faire un bon bouillon de poulet maison. et pour le poulet, bien... il est maintenant prêt pour faire un délicieux panini.
Pour faire le Panini, j'utilise des pains Ciabatta. J'aime la texture de ce pain et le fait qu'il y ait de la croûte bien épaisse. Je prends les demi-Ciabatta, c'est à dire, ceux qui sont carrés ou presque. Je trouve personnellement que c'est bien suffisant pour 1 personne.
Je coupe les pains en deux sur l'épaisseur et je badigeonne généreusement chaque intérieur avec du Pesto. Ensuite, je dépose une couche de poulet.... bon... si vous avez un reste de dinde, ça peut fonctionner aussi. Finalement, je couvre le tout avec du fromage Brie... une à deux tranches de 1/4 de pouce d'épaisseur (5 mm), je m'assure de bien couvrir le poulet, mais je ne superpose jamais 2 tranches de fromage sinon, le fromage coule dans le gril et ça fait du dégât....et ça n'ajoute rien au sandwich...
Il ne reste plus qu'à mettre dans le grille Panini bien chaud et de faire griller jusqu'à ce que la croûte soit bien craquante et que les rainures du gril soient bien marquées. Ça ne prend que quelques minutes! Ensuite, il vous reste à mordre à belles dents dans le plus merveilleux sandwich.....
Essayez, vous ne le regretterez pas!
J'adorais quand elle le sortait, mais c'était si compliqué à nettoyer que l'appareil restait trop souvent dans l'armoire! Mon plus grand bonheur, c'est lorsqu'elle faisait des hot dogs grillés et des hamburgers et qu'elle utilisait son "machin électrique" pour faire griller ses pains bien badigeonner de beurre pour ne pas coller, et qui s'applatissaient sous l'action de la chaleur et....avec un peu de persuasion de la part de ma mère.... Quel bonheur de recevoir ces pains aussi mince que des crèpes croustillants à l'extérieur et tellement meilleurs que s'ils avaient été cuits dans la poêle... du moins c'est ce que je pensais à l'époque.
Il n'y a plus de ces "machins électriques"... maintenant, ce sont des gaufriers avec plaques amovibles, les plaques sont enduites de teflon et sincèrement, ils n'ont pas le même charme que cet appareil qui faisait office de miroir à la petite fille que j'étais quand les pains cuisaient... Ah...la nostalgie....
Il y a quelques années, la mode du café, Panini grillé s'est développée. C'est beaucoup plus élaboré que le grilled cheese de mon enfance, mais l'idée générale est là.... Et si George Foreman a été le précurseur avec son gril burger qui "éliminait tout le gras" à cause de l'inclinaison de ses plaques, l'idée a été reprise par beaucoup de fabricants. Le gril qui a réussi à enter chez nous est de marque Breville. Il est de forme carrée pour plus de surface de cuisson, Il a aussi un thermostat réglable pour les différentes choses que je voudrais y griller et finalement, le couvercle est assez lourd pour faire une pression sur les aliments et est muni d'un système de réglage de pression, pour ne pas que la nourriture se transforme en galette... Et c'est un gril à rainures..... donc, pas question d'y faire un grilled cheese galette....Mais... quand l'envie me prend, un bon pannini grillé au poulet, pesto et fromage brie.... il n'y a rien qui peut battre ça.
Tout d'abord, ça vous prend du bon pesto.... Aujourd'hui, j'ai fait le miens, mais si vous n'avez pas de basilic frais sous la main, le pesto de la compagnie Le Grand, vendue en sachets munies d'un bec verseur refermable, qu'on retrouve dans le comptoir réfrigérer près des sauces à spaghetti maison en général, est une très bonne alternative.
Pour faire un bon Pesto al Genovese, vous aurez besoin de:
2 tasses de feuilles de basilic bien tassées
1/4 tasse de pignons (noix de pin) ou ....de noix de grenoble, mais c'est moins bon
1/4 tasse d'un bon fromage Parmesan frais râpé.... du Parmeggiano Reggiano si vous en trouvez
1 gousse d'ail
1/2 à 3/4 de tasse d'une bonne huile d'olive pressée à froid
J'insiste sur l'huile d'olive, elle doit vous plaire au goût sinon, votre pesto en souffrira. Comme on a tous des goûts différents, je préfère ne pas vous suggérer une marque plutôt qu'une autre, mais ne lésinez pas sur la qualité de votre huile.
Si vous avez un mélangeur (blender), déposez environ la moitié de l'huile dans le fond de la jarre. Ensuite, l'ail pui ajoutez le basilic, puis les pignons et enfin le fromage. Faites fonctionner votre mélangeur pour réduire en purée... vous devrez probablement ajouter de l'huile pour obtenir une belle consistance lisse.Ne vous en faites pas si vous mettez plus d'huile que prévu dans la recette.. Ranger au frigo dans un bocal hermétique. Votre Pesto va probablement se séparer en ce sens que l"huile excédentaire montera à la surface tandis que les solides vont se déposer au fond du bocal... Pas de problème. Retirer simplement le surplus d'huile et conservez-le pour votre prochaine vinaigrette ou pour assaisonner un poisson poché.... c'est vraiment très bon et ça évite le gaspillage. Ah et oui, j'oubliais 2 détails.... Votre pesto s'oxydera s'il reste trop longtemps au frigo, c'est normal, mais moins joli.... vous n'avez qu'à bien remuer et il retrouvera une bonne partie de sa belle couleur verte. Autre chose... Le pesto se congèle très bien... vous pouvez le faire geler dans des bacs à glaçon, transférer les cubes dans des sacs à congélation et ne sortir que la quantité dont vous avez besoin au fur et à mesure. Si vous avez une source d'approvisionnement abondante en Basilic, ça pourrait être très intéressant pour les mois d'hiver.
Je me demandais.... est-ce que vous achetez des poulets rotis à l'épicerie? Moi, ça m'arrive souvent... En général, je regarde pour ceux qui sont déjà cuits et réfrigérés... ils sont souvent moins dispendieux et finalement, si c'est pour faire un sandwich, je n'ai vraiment pas besoin qu'il soint chaud. Normalement, je le désosse, j'enlève la peau et le gras et je garde tout ça pour faire un bon bouillon de poulet maison. et pour le poulet, bien... il est maintenant prêt pour faire un délicieux panini.
Pour faire le Panini, j'utilise des pains Ciabatta. J'aime la texture de ce pain et le fait qu'il y ait de la croûte bien épaisse. Je prends les demi-Ciabatta, c'est à dire, ceux qui sont carrés ou presque. Je trouve personnellement que c'est bien suffisant pour 1 personne.
Je coupe les pains en deux sur l'épaisseur et je badigeonne généreusement chaque intérieur avec du Pesto. Ensuite, je dépose une couche de poulet.... bon... si vous avez un reste de dinde, ça peut fonctionner aussi. Finalement, je couvre le tout avec du fromage Brie... une à deux tranches de 1/4 de pouce d'épaisseur (5 mm), je m'assure de bien couvrir le poulet, mais je ne superpose jamais 2 tranches de fromage sinon, le fromage coule dans le gril et ça fait du dégât....et ça n'ajoute rien au sandwich...
Il ne reste plus qu'à mettre dans le grille Panini bien chaud et de faire griller jusqu'à ce que la croûte soit bien craquante et que les rainures du gril soient bien marquées. Ça ne prend que quelques minutes! Ensuite, il vous reste à mordre à belles dents dans le plus merveilleux sandwich.....
Essayez, vous ne le regretterez pas!
Saturday, 6 August 2011
nouvel arrêt.... le Vanuatu
Le nom m'était tout à fait étranger....ok, à ma décharge, mes derniers cours de géographie datent de plus de 30 ans....et au moment où ce pays a obtenu son indépendance, en 1980, j'étais jeune travailleuse, plus intéressée à faire du "social" et célébrer mon autonomie que par les nouvelles du monde... ah l'insouciance de la jeunesse!
Tout ça pour dire "Bienvenue à Port-Vila, capitale du Vanuatu!"
Le Vanuatu c'était, avant son indépendance, les Nouvelles Hébrides.... bon, ça, j'avais entendu le nom déjà! C'est un ensemble de 83 iles (enfin...81 officielles et 2 disputées avec la Nouvelle-Calédonie) majoritairement d'origine volcanique situé dans l'océan Pacifique, quelque part entre l'Australie, la Nouvelle-Calédonie, Fidji et les iles Salomon.
Comme toujours, quelques statistiques:
En 2009, ce sont les plus récents chiffres que j'ai trouvés.... La population est d'environ 240,000 habitants, on y parle 108 langues distinctes, mais 3 seulement sont des langues officielles... l'anglais, le français, le Bislama. Sur le terrain, vous constaterez que l'anglais et le français, langues des colonisateurs, sont presqu'absents.
Le président actuel est Lolu Abil et la monnaie utilisé est le Vatu. Incidemment, en début de cette année, le Vanuatu a été désigné le Pays le plus heureux de la terre selon le HappyPlanet Index, titre qu'il avait déjà obtenu en 2006, 2007 et 2008. Pour ce qui est des critères.... il faudrait vérifier sur internet et comme ce n'est pas le but de cette chronique.... parlons des choses qui nous concernent...
Que mange-t-on au Vanuatu? Traditionnellement, les populations autochtones se nourrissaient de Yam, Taro, banane, noix de coco, canne à sucre, noix, verdures, porc, volaille et fruits de mer. A ceci se sont ajoutés peu à peu, manioc, plantain, patates sucrées, papaya et mangues et un peu plus tard, les choux, haricots, maïs, poivrons et piments, carottes et citrouilles.... et certains aliment "de luxe" du genre riz et poisson en conserve
Le plat "national" c'est le Lap Lap. Vous prenez une feuille de banane, vous y posez des feuilles de Lap Lap (on dit que c'est une espèce d"épinard" local) vous y déposez ensuite des légumes féculents râpés (manioc, patate sucrée ou autre) et une viande ou un poisson. Vous refermez le tout et faites cuire dans un four traditionnel, c'est à dire un feu sur lequel vous aurez posé des galets, ensuite vos paquets, puis d,autres galets....bon vous voyez un peu ce que je veux dire
En fait, le Lap lap se prépare aussi dans votre four.... je vous donnerai une recette une autre fois, mais comme aujourd'hui était une journée magnifique dehors, j'ai préféré choisir quelque chose de plus simple, demandant peu de préparation et tout a fait vanuatien (est-ce que c'est comme ça que ça se dit????) Alors pour vous tous qui rêvez de sucrerie... transportable en plus!
Biscuits aux bananes et au beurre d'arachide.
1 1/4 tasse de farine (300 ml)
1/2 c.à thé de poudre à pâte (3 ml de levure chimique)
3/4 c.à thé de bicarbonate de soude (4 ml)
1/4 c.à thé de sel (1 ml)
1/2 tasse de beurre ou de margarine (125 ml)
1/2 tasse de beurre d'arachide (125 ml)
1 tasse de sucre (250 ml)
1 banane moyenne
Mélanger ensemble farine, poudre à pâte, bicarbonate de soude, sel. Dans un autre bol, mélangez le beurre et le beurre d'arachide avec le sucre jusqu'à ce que le sucre soit fondu... j'ai triché, j'ai utilisé du sucre glace et un mélangeur sur socle.....vive la technologie!.... Ajouter ensuite la banane que vous aurez écrasé à la fourchette.
Quand le mélange est lisse, ajouter le mélange de farine et bien mélanger pour bien humecter toute la farine. Ne mélangez pas trop, ce n'est pas du pain que vous voulez faire!!!
Déposer sur une plaque doublée d'un papier parchemin ou d'une feuille de silicone (Silpat) par cuillérées à thé comble en laissant 5 cm d'intervalles entre les biscuits. Faites cuire adans un four préchauffé à 350 F.... 180 C pendant environ 15 minutes. Faites refroidir sur une grille.
Cette recette vous donnera environ 36 biscuits.
Bien que cette recette ressemble à bien d'autres recettes de biscuits, elle est composée d'ingrédients courants auVanuatu.... pour ce qui est de la cuisine... il a bien fallu que j'utilise mon four...et pour LapLap... ce n'est que partie remise... je vous promets la recettes très bientôt!
Tout ça pour dire "Bienvenue à Port-Vila, capitale du Vanuatu!"
Le Vanuatu c'était, avant son indépendance, les Nouvelles Hébrides.... bon, ça, j'avais entendu le nom déjà! C'est un ensemble de 83 iles (enfin...81 officielles et 2 disputées avec la Nouvelle-Calédonie) majoritairement d'origine volcanique situé dans l'océan Pacifique, quelque part entre l'Australie, la Nouvelle-Calédonie, Fidji et les iles Salomon.
Comme toujours, quelques statistiques:
En 2009, ce sont les plus récents chiffres que j'ai trouvés.... La population est d'environ 240,000 habitants, on y parle 108 langues distinctes, mais 3 seulement sont des langues officielles... l'anglais, le français, le Bislama. Sur le terrain, vous constaterez que l'anglais et le français, langues des colonisateurs, sont presqu'absents.
Le président actuel est Lolu Abil et la monnaie utilisé est le Vatu. Incidemment, en début de cette année, le Vanuatu a été désigné le Pays le plus heureux de la terre selon le HappyPlanet Index, titre qu'il avait déjà obtenu en 2006, 2007 et 2008. Pour ce qui est des critères.... il faudrait vérifier sur internet et comme ce n'est pas le but de cette chronique.... parlons des choses qui nous concernent...
Que mange-t-on au Vanuatu? Traditionnellement, les populations autochtones se nourrissaient de Yam, Taro, banane, noix de coco, canne à sucre, noix, verdures, porc, volaille et fruits de mer. A ceci se sont ajoutés peu à peu, manioc, plantain, patates sucrées, papaya et mangues et un peu plus tard, les choux, haricots, maïs, poivrons et piments, carottes et citrouilles.... et certains aliment "de luxe" du genre riz et poisson en conserve
Le plat "national" c'est le Lap Lap. Vous prenez une feuille de banane, vous y posez des feuilles de Lap Lap (on dit que c'est une espèce d"épinard" local) vous y déposez ensuite des légumes féculents râpés (manioc, patate sucrée ou autre) et une viande ou un poisson. Vous refermez le tout et faites cuire dans un four traditionnel, c'est à dire un feu sur lequel vous aurez posé des galets, ensuite vos paquets, puis d,autres galets....bon vous voyez un peu ce que je veux dire
En fait, le Lap lap se prépare aussi dans votre four.... je vous donnerai une recette une autre fois, mais comme aujourd'hui était une journée magnifique dehors, j'ai préféré choisir quelque chose de plus simple, demandant peu de préparation et tout a fait vanuatien (est-ce que c'est comme ça que ça se dit????) Alors pour vous tous qui rêvez de sucrerie... transportable en plus!
Biscuits aux bananes et au beurre d'arachide.
1 1/4 tasse de farine (300 ml)
1/2 c.à thé de poudre à pâte (3 ml de levure chimique)
3/4 c.à thé de bicarbonate de soude (4 ml)
1/4 c.à thé de sel (1 ml)
1/2 tasse de beurre ou de margarine (125 ml)
1/2 tasse de beurre d'arachide (125 ml)
1 tasse de sucre (250 ml)
1 banane moyenne
Mélanger ensemble farine, poudre à pâte, bicarbonate de soude, sel. Dans un autre bol, mélangez le beurre et le beurre d'arachide avec le sucre jusqu'à ce que le sucre soit fondu... j'ai triché, j'ai utilisé du sucre glace et un mélangeur sur socle.....vive la technologie!.... Ajouter ensuite la banane que vous aurez écrasé à la fourchette.
Quand le mélange est lisse, ajouter le mélange de farine et bien mélanger pour bien humecter toute la farine. Ne mélangez pas trop, ce n'est pas du pain que vous voulez faire!!!
Déposer sur une plaque doublée d'un papier parchemin ou d'une feuille de silicone (Silpat) par cuillérées à thé comble en laissant 5 cm d'intervalles entre les biscuits. Faites cuire adans un four préchauffé à 350 F.... 180 C pendant environ 15 minutes. Faites refroidir sur une grille.
Cette recette vous donnera environ 36 biscuits.
Bien que cette recette ressemble à bien d'autres recettes de biscuits, elle est composée d'ingrédients courants auVanuatu.... pour ce qui est de la cuisine... il a bien fallu que j'utilise mon four...et pour LapLap... ce n'est que partie remise... je vous promets la recettes très bientôt!
Friday, 5 August 2011
Puisque c'est toujours bon.....
Aujourd'hui, retrouvailles avec une amie de longue date.... souper au resto... Comme elle habite à Terrebonne, le choix d'un resto situé dans le vieux Terrebonne s'imposait.... et.... puisqu'il faut choisir, pourquoi pas un resto qui offre la qualité avant tout... résultat....on va souper au Maroc!
Situé un peu en marge de la masse de restos du Vieux Terrebonne, El Marrakechi vous offre un carte intéressante où prédomine couscous et tagine. D'ailleurs, le propriétaire ne s'en cache pas... ce sont ses spécialités, des plats qui prennent du temps à préparer et à cuire et qu'on n'a pas le temps normalement de préparer dans les règles de l'art... Ce n'était pas ma première visite et ce ne sera certainement pas la dernière. La nourriture y est préparée avec amour....beaucoup d'amour.... et comme toutes les choses préparée avec beaucoup d'amour, il faut faire preuve de patience avant d'avoir son repas.... mais qu'importe, quand ça fait longtemps qu'on a pas vu quelqu'un, ça donne le temps de rattrapper les nouvelles. En fait, je n'ai jamais vu le temps passer!
Tout d'abord, la gentille hôtesse nous a apporté des petits pains tout chauds avec une croûte bien craquante... et oui... j'ai craqué! J'adore les petits pains chauds et trop souvent, les restaurateurs ne se donnent plus la peine de faire chauffer les petits pains. Je ne commencerai pas un débat sur ce sujet, mais j'ouvre une parenthèse...considérant le peu de temps que prend un pain à chauffer, c'est une petite attention qui rend un resto encore plus sympathique. J'ai horreur du petit pain enveloppé individuellement dans son cello sous prétexte que c'est plus hygiénique... On s'entend pour dire que la salade qu'on nous sert a été manipulée par quelqu'un et que les légumes ne se sont pas préparés tout seul...et eux, ils ne sont pas dans des cellos!!!! alors pourquoi faut-il envelopper le pain S,V.P??? Ok... fin du questionnement, mais vous aurez compris que je préfère le pain chaud et craquant à ce truc molasse dans sa prison transparente... fin de la parenthèse....
Pour la suite du repas il semblerait que toutes les deux, nous étions sur la même longueur d'onde puisque notre choix de repas a été identique... En entrée, une salade aux parfums de cumin, tomates poivrons grillés sur lit de laitue, unTagine de poulet aux olives et citrons confits. Une cuisse de poulet tendre à souhait, des légumes, oignons, courgette, céleri, cuits à la perfection, des olives noires et vertes et une sauce tomatée aux saveurs voluptueuses.... que dire de plus.
Ce plat est servi avec un bol de couscous en accompagnement. Le salé des olives et le goût particulier des citrons confits, eux aussi salés, apporte de la brillance à ce plat. Heureusement qu'on nous apporte du pain... ainsi, on peut essuyer jusqu'à la moindre goutte de la savoureuse sauce!
Au dessert... une crème brûlée... ok. j'ai un faible pour la crème brûlée,,,et celle-ci est très bonne. Crémeuse, à peine coulante, juste assez sucrée...et une belle croûte bien craquante de sucre grillé sur le dessus....
Évidemment, un thé à la menthe pour arroser tout ça, servi dans un verre comme il se doit... 1, 2 3 verres... c'est très bon ce truc...et ça crée une dépendance assez rapidement.....
L'ennui avec ce genre de repas, c'est que c'est tellement bon, qu'on voudrait continuer à manger, même quand l'assiette est vide et que l'estomac ne peut plus en prendre....
Pour ce qui est du prix, il est très abordable. Un premier conseil, si vous décidez d'y aller pendant le weekend, faites des réservations. On m'a dit que c'est souvent plein à craquer. Il y a un terrasse qui peut accueillir une trentaine de personnes peut-être un peu plus et une trentaine de personnes peuvent aussi prendre place à l'intérieur...
Un deuxième conseil par contre, n'y allez pas si vous êtes pressés ou si vous n'êtes pas tout à fait à l'aise pour converser avec les personnes avec lesquelles vous allez manger...sinon, vous risquez de trouver votre souper très long.....
Un petit endroit fort sympathique, de la bonne bouffe venue de loin.
Je vous laisse l'adresse:
El Marrakechi
773, rue St-François-Xavier
Situé un peu en marge de la masse de restos du Vieux Terrebonne, El Marrakechi vous offre un carte intéressante où prédomine couscous et tagine. D'ailleurs, le propriétaire ne s'en cache pas... ce sont ses spécialités, des plats qui prennent du temps à préparer et à cuire et qu'on n'a pas le temps normalement de préparer dans les règles de l'art... Ce n'était pas ma première visite et ce ne sera certainement pas la dernière. La nourriture y est préparée avec amour....beaucoup d'amour.... et comme toutes les choses préparée avec beaucoup d'amour, il faut faire preuve de patience avant d'avoir son repas.... mais qu'importe, quand ça fait longtemps qu'on a pas vu quelqu'un, ça donne le temps de rattrapper les nouvelles. En fait, je n'ai jamais vu le temps passer!
Tout d'abord, la gentille hôtesse nous a apporté des petits pains tout chauds avec une croûte bien craquante... et oui... j'ai craqué! J'adore les petits pains chauds et trop souvent, les restaurateurs ne se donnent plus la peine de faire chauffer les petits pains. Je ne commencerai pas un débat sur ce sujet, mais j'ouvre une parenthèse...considérant le peu de temps que prend un pain à chauffer, c'est une petite attention qui rend un resto encore plus sympathique. J'ai horreur du petit pain enveloppé individuellement dans son cello sous prétexte que c'est plus hygiénique... On s'entend pour dire que la salade qu'on nous sert a été manipulée par quelqu'un et que les légumes ne se sont pas préparés tout seul...et eux, ils ne sont pas dans des cellos!!!! alors pourquoi faut-il envelopper le pain S,V.P??? Ok... fin du questionnement, mais vous aurez compris que je préfère le pain chaud et craquant à ce truc molasse dans sa prison transparente... fin de la parenthèse....
Pour la suite du repas il semblerait que toutes les deux, nous étions sur la même longueur d'onde puisque notre choix de repas a été identique... En entrée, une salade aux parfums de cumin, tomates poivrons grillés sur lit de laitue, unTagine de poulet aux olives et citrons confits. Une cuisse de poulet tendre à souhait, des légumes, oignons, courgette, céleri, cuits à la perfection, des olives noires et vertes et une sauce tomatée aux saveurs voluptueuses.... que dire de plus.
Ce plat est servi avec un bol de couscous en accompagnement. Le salé des olives et le goût particulier des citrons confits, eux aussi salés, apporte de la brillance à ce plat. Heureusement qu'on nous apporte du pain... ainsi, on peut essuyer jusqu'à la moindre goutte de la savoureuse sauce!
Au dessert... une crème brûlée... ok. j'ai un faible pour la crème brûlée,,,et celle-ci est très bonne. Crémeuse, à peine coulante, juste assez sucrée...et une belle croûte bien craquante de sucre grillé sur le dessus....
Évidemment, un thé à la menthe pour arroser tout ça, servi dans un verre comme il se doit... 1, 2 3 verres... c'est très bon ce truc...et ça crée une dépendance assez rapidement.....
L'ennui avec ce genre de repas, c'est que c'est tellement bon, qu'on voudrait continuer à manger, même quand l'assiette est vide et que l'estomac ne peut plus en prendre....
Pour ce qui est du prix, il est très abordable. Un premier conseil, si vous décidez d'y aller pendant le weekend, faites des réservations. On m'a dit que c'est souvent plein à craquer. Il y a un terrasse qui peut accueillir une trentaine de personnes peut-être un peu plus et une trentaine de personnes peuvent aussi prendre place à l'intérieur...
Un deuxième conseil par contre, n'y allez pas si vous êtes pressés ou si vous n'êtes pas tout à fait à l'aise pour converser avec les personnes avec lesquelles vous allez manger...sinon, vous risquez de trouver votre souper très long.....
Un petit endroit fort sympathique, de la bonne bouffe venue de loin.
Je vous laisse l'adresse:
El Marrakechi
773, rue St-François-Xavier
Vieux-Terrebonne
Thursday, 4 August 2011
Petite incursion en Afrique....
Aujourd'hui, une invitation à découvrir un petit restaurant de la rue Décarie à Saint-Laurent (Montréal). Sur sa carte d'affaires, on lit....Meilleure cuisine africaine à Montréal....
Je sais pas si c'est la meilleure, la compétition est forte et l'Afrique c'est grand et diversifié.... mais il est aussi vrai que les pays du nord de l'Afrique aiment mieux s'identifier comme Maghrébins qu'Africains...et... j'avoue que mon expérience de la nourriture africaine, autre que celle du Maghreb est assez limitée.... donc... je vais dire c'est la meilleure que j'ai mangé à date venant d'un pays africain autre que d'Afrique du nord. Et c'est en regardant une émission de RTS-1 que le repas s'est déroulé.
En fait, le Khady est un restaurant Sénégalais...j'ai enfin trouvé, avec l'aide de mon amie Martine, un resto et mangé un vrai repas sénégalais préparé par des Sénégalais! La carte est toute simple... quelques choix d'entrées, une dizaine de plats principaux, des accompagnements, 2 ou 3 desserts et quelques choix de breuvages, et les prix sont très, très abordables.
Mon choix ce soir.... et bien, Sénégal oblige.....rien de moins que le plat national, le Thiéboudienne ou riz au poisson. J'entendais dans ma tête, mon ami Mor me conseiller, lui, qui dans son Sénégal natal doit sourire à belles dents en lisant ces lignes.... Je ne pouvais faire un autre choix, premièrement parce que j'en avais entendu parlé comme étant un délice (ce qui est vrai soit dit en passant) et qu'on m'a déjà demandé si je pouvais en faire.... Je pensais bien pouvoir y arriver, mais maintenant que j'en ai mangé, je suis certaine que je peux moi aussi arriver à réaliser ce plat à la fois simple et complexe. C'est un plat de poisson dont la chair est généreusement farcie d'herbes où le persil dominait. Avec le poisson, des légumes... carottes, aubergines, patate douce blanche, chou, navet, le tout servi sur un riz qu'on dit cassé 2 fois aromatisé aux tomates....
Normalement, si vous habitez le Sénégal, vous ferez ce plat avec du Thiof ou si vous préférez, du mérou...mais.... à Montréal, le mérou est une denrée rare, le choix du saumon est plutôt intéressant. La chair bien rose soutient bien la cuisson, peut-être un peu trop longue par rapport à la façon que j'ai de manger ce poisson habituellement, mais j'avoue qu'ici, ça réussit à merveille. Bon, je ne vous parle pas des assaisonnements, j'avoue que j'ai plus évalué le goût général que j'ai essayé de disséquer les saveurs une à une, mais je peux vous assurer qu'elles se marient à merveille. Et, en plus, on nous a donné un petit plat de sauce de piment fort....vraiment fort... pour rehausser encore davantage les parfums de ce merveilleux plat.
Les portions sont vraiment très, très, très généreuses... plus de place pour un dessert, mais j'avoue que le couscous de mil à la crème était plutôt tentant...mais non, mon estomac n'aurait pas résisté...
Je veux aussi vous parler de mon choix de breuvage... 2 suggestions s'offraient à nous si on fait exception du thé et du café.... soit du jus de gingembre et du bissap....au verre ou au pichet.... comme le gingembre a tendance à réchauffer et qu'il fait encore chaud aujourd'hui, le choix était assez simple.... du Bissap.... Et qu'est-ce que le Bissap me demanderez-vous.... et bien, c'est une infusion de fleurs d'hibiscus qui donne on bon goût disons... citronné et une magnifique couleur rouge, à laquelle on ajoute du sucre et de la vanille... c'est servi très frais! Pas besoin de vous dire que c'est rafraîchissant et surtout désaltérant à souhait.... et je vous avoue.... ça fait longtemps que je connais le Bissap et j'aime vraiment beaucoup bien que personnellement, je ne le prépare pas avec sucre et vanille.... j'aime ce goût un peu acidulé autant chaud que froid....
Enfin, parmi les items proposés au menu, le Yassa au poulet ou au poisson sont aussi à l'honneur ainsi que poisson, poulet ou boeuf grillé.... Si la carte est courte, elle représente assez bien les spécialités sénégalaises les plus connues.
J'ai vraiment aimé mon repas et oui, je retournerai certainement pour essayer une autre des spécialités.Et si vous ne l'aviez pas encore figuré... RTS-1, c'est le logo de lapremière chaîne de Radio-Télévision du Sénégal. Vive les satellites!
Je vous laisse l'adresse:
Khady
850 boulevard Décarie
Saint-Laurent (Montréal)
Un petit coin d'Afrique à 2 pas de chez vous!
Je sais pas si c'est la meilleure, la compétition est forte et l'Afrique c'est grand et diversifié.... mais il est aussi vrai que les pays du nord de l'Afrique aiment mieux s'identifier comme Maghrébins qu'Africains...et... j'avoue que mon expérience de la nourriture africaine, autre que celle du Maghreb est assez limitée.... donc... je vais dire c'est la meilleure que j'ai mangé à date venant d'un pays africain autre que d'Afrique du nord. Et c'est en regardant une émission de RTS-1 que le repas s'est déroulé.
En fait, le Khady est un restaurant Sénégalais...j'ai enfin trouvé, avec l'aide de mon amie Martine, un resto et mangé un vrai repas sénégalais préparé par des Sénégalais! La carte est toute simple... quelques choix d'entrées, une dizaine de plats principaux, des accompagnements, 2 ou 3 desserts et quelques choix de breuvages, et les prix sont très, très abordables.
Mon choix ce soir.... et bien, Sénégal oblige.....rien de moins que le plat national, le Thiéboudienne ou riz au poisson. J'entendais dans ma tête, mon ami Mor me conseiller, lui, qui dans son Sénégal natal doit sourire à belles dents en lisant ces lignes.... Je ne pouvais faire un autre choix, premièrement parce que j'en avais entendu parlé comme étant un délice (ce qui est vrai soit dit en passant) et qu'on m'a déjà demandé si je pouvais en faire.... Je pensais bien pouvoir y arriver, mais maintenant que j'en ai mangé, je suis certaine que je peux moi aussi arriver à réaliser ce plat à la fois simple et complexe. C'est un plat de poisson dont la chair est généreusement farcie d'herbes où le persil dominait. Avec le poisson, des légumes... carottes, aubergines, patate douce blanche, chou, navet, le tout servi sur un riz qu'on dit cassé 2 fois aromatisé aux tomates....
Normalement, si vous habitez le Sénégal, vous ferez ce plat avec du Thiof ou si vous préférez, du mérou...mais.... à Montréal, le mérou est une denrée rare, le choix du saumon est plutôt intéressant. La chair bien rose soutient bien la cuisson, peut-être un peu trop longue par rapport à la façon que j'ai de manger ce poisson habituellement, mais j'avoue qu'ici, ça réussit à merveille. Bon, je ne vous parle pas des assaisonnements, j'avoue que j'ai plus évalué le goût général que j'ai essayé de disséquer les saveurs une à une, mais je peux vous assurer qu'elles se marient à merveille. Et, en plus, on nous a donné un petit plat de sauce de piment fort....vraiment fort... pour rehausser encore davantage les parfums de ce merveilleux plat.
Les portions sont vraiment très, très, très généreuses... plus de place pour un dessert, mais j'avoue que le couscous de mil à la crème était plutôt tentant...mais non, mon estomac n'aurait pas résisté...
Je veux aussi vous parler de mon choix de breuvage... 2 suggestions s'offraient à nous si on fait exception du thé et du café.... soit du jus de gingembre et du bissap....au verre ou au pichet.... comme le gingembre a tendance à réchauffer et qu'il fait encore chaud aujourd'hui, le choix était assez simple.... du Bissap.... Et qu'est-ce que le Bissap me demanderez-vous.... et bien, c'est une infusion de fleurs d'hibiscus qui donne on bon goût disons... citronné et une magnifique couleur rouge, à laquelle on ajoute du sucre et de la vanille... c'est servi très frais! Pas besoin de vous dire que c'est rafraîchissant et surtout désaltérant à souhait.... et je vous avoue.... ça fait longtemps que je connais le Bissap et j'aime vraiment beaucoup bien que personnellement, je ne le prépare pas avec sucre et vanille.... j'aime ce goût un peu acidulé autant chaud que froid....
Enfin, parmi les items proposés au menu, le Yassa au poulet ou au poisson sont aussi à l'honneur ainsi que poisson, poulet ou boeuf grillé.... Si la carte est courte, elle représente assez bien les spécialités sénégalaises les plus connues.
J'ai vraiment aimé mon repas et oui, je retournerai certainement pour essayer une autre des spécialités.Et si vous ne l'aviez pas encore figuré... RTS-1, c'est le logo de lapremière chaîne de Radio-Télévision du Sénégal. Vive les satellites!
Je vous laisse l'adresse:
Khady
850 boulevard Décarie
Saint-Laurent (Montréal)
Un petit coin d'Afrique à 2 pas de chez vous!
Wednesday, 3 August 2011
donnez-moi des roses....
Non! Non! Pas des roses.... de la lavande!
Aujourd'hui je suis allée dans un endroit tout à fait chouette situé à Saint-Eustache....La Maison de la Lavande où on fabrique les produits Pure Lavande.
Si je vous en parle, c'est qu'on a tendance à oublier... enfin, c'est mon cas donc je rephrase...j'ai tendance à oublier que la lavande n'est pas seulement pour faire des sachets qui sentent bon, ou de l'huile essentielle pour le bain.... La lavande c'est aussi un merveilleux ajout à la cuisine...
Tout d'abord, vous aurez besoin d'avoir de la lavande pour l'alimentation.... en fait, toutes les lavandes ne sont pas créées égales.... certaines contiennent beaucoup trop d'arôme et sont... immangeables même si elles sont comestibles.... donc trouvez de la lavande mangeable... vos spécialistes dans les boutiques de lavande se feront un plaisir de vous diriger vers la bonne variété. Ensuite, place à l'expérimentation!
Si vous n'êtes pas de type aventureux.... une recette simple.... la limonade à la lavande,
1 petit contenant de limonade surgelée
2 c.à thé de fleurs de lavande séchées
eau
Mettre la limonade surgelée dans un grand pichet. Ajouter 1 contenant plein d'eau froide.
Faire infuser les feuilles de lavande dans 2 tasses d'eau chaude pendant 5 minutes. Utiliser une boule à infuser pour pouvoir retirer facilement, sinon, tamiser le liquide encore chaud dans le pichet contenant la limonade. Bien mélanger et laisser refroidir.
Servir bien frais sur de la glace
Pour un premier essai, ça devrait vous séduire,,, et à titre informatif, la lavande a un effet calmant alors quelque chose à la lavande, c'est un moment de appaisant à portée de la main!
J'aime bien la tisane de lavande à l'occasion,,, le goût est assez particulier, mais très bon,
Aujourd'hui, j'ai eu l'occasion de manger des biscuits à l'avoine à la lavande et j'ai été agréablement surprise... un goût tout à fait intéressant et pas vraiment "floral". C'était assez pour que je me dise qu'il faudrait bien que j'explore d'avantage le merveilleux monde de la lavande.
Un bon point de départ, la lavande étant un proche parent du romarin, les recettes demandant du romarin devrait se révéler sous un tout nouveau jour en substituant le romarin pour de la lavande..... hmmm il faudra que j'essaie..... encore un nouveau projet sur ma liste...
Si vous voulez explorer le monde de la lavande, je vous laisse 2 adresses. Dans les 2 cas, vous pourrez découvrir la culture de la lavande, et profiter de promenades dans les champs, et bien sûr, faire un peu de magasinage dans les boutiques:
La maison de la Lavande
902 chemin Fresnière
St-Eustache
Bleu Lavande
891 chemin Narrow
Stanstead (Fitch Bay)
Enfin, vous trouverez aussi les produits de lavande dans les boutiques Bleu Lavande et certains dépositaires dans le cas des produits Pure Lavande.... En cherchant un peu, vous n'aurez pas de mal à trouver et si jamais, vous ne trouviez pas... allez-voir les sites internet des 2 producteurs pour commandes internet... vous pourrez magasiner dans le confort de votre foyer, mais.... sans la bonne odeur de la lavande autour de vous...efficace, mais moins inspirant!
Bon appétit!
Aujourd'hui je suis allée dans un endroit tout à fait chouette situé à Saint-Eustache....La Maison de la Lavande où on fabrique les produits Pure Lavande.
Si je vous en parle, c'est qu'on a tendance à oublier... enfin, c'est mon cas donc je rephrase...j'ai tendance à oublier que la lavande n'est pas seulement pour faire des sachets qui sentent bon, ou de l'huile essentielle pour le bain.... La lavande c'est aussi un merveilleux ajout à la cuisine...
Tout d'abord, vous aurez besoin d'avoir de la lavande pour l'alimentation.... en fait, toutes les lavandes ne sont pas créées égales.... certaines contiennent beaucoup trop d'arôme et sont... immangeables même si elles sont comestibles.... donc trouvez de la lavande mangeable... vos spécialistes dans les boutiques de lavande se feront un plaisir de vous diriger vers la bonne variété. Ensuite, place à l'expérimentation!
Si vous n'êtes pas de type aventureux.... une recette simple.... la limonade à la lavande,
1 petit contenant de limonade surgelée
2 c.à thé de fleurs de lavande séchées
eau
Mettre la limonade surgelée dans un grand pichet. Ajouter 1 contenant plein d'eau froide.
Faire infuser les feuilles de lavande dans 2 tasses d'eau chaude pendant 5 minutes. Utiliser une boule à infuser pour pouvoir retirer facilement, sinon, tamiser le liquide encore chaud dans le pichet contenant la limonade. Bien mélanger et laisser refroidir.
Servir bien frais sur de la glace
Pour un premier essai, ça devrait vous séduire,,, et à titre informatif, la lavande a un effet calmant alors quelque chose à la lavande, c'est un moment de appaisant à portée de la main!
J'aime bien la tisane de lavande à l'occasion,,, le goût est assez particulier, mais très bon,
Aujourd'hui, j'ai eu l'occasion de manger des biscuits à l'avoine à la lavande et j'ai été agréablement surprise... un goût tout à fait intéressant et pas vraiment "floral". C'était assez pour que je me dise qu'il faudrait bien que j'explore d'avantage le merveilleux monde de la lavande.
Un bon point de départ, la lavande étant un proche parent du romarin, les recettes demandant du romarin devrait se révéler sous un tout nouveau jour en substituant le romarin pour de la lavande..... hmmm il faudra que j'essaie..... encore un nouveau projet sur ma liste...
Si vous voulez explorer le monde de la lavande, je vous laisse 2 adresses. Dans les 2 cas, vous pourrez découvrir la culture de la lavande, et profiter de promenades dans les champs, et bien sûr, faire un peu de magasinage dans les boutiques:
La maison de la Lavande
902 chemin Fresnière
St-Eustache
Bleu Lavande
891 chemin Narrow
Stanstead (Fitch Bay)
Enfin, vous trouverez aussi les produits de lavande dans les boutiques Bleu Lavande et certains dépositaires dans le cas des produits Pure Lavande.... En cherchant un peu, vous n'aurez pas de mal à trouver et si jamais, vous ne trouviez pas... allez-voir les sites internet des 2 producteurs pour commandes internet... vous pourrez magasiner dans le confort de votre foyer, mais.... sans la bonne odeur de la lavande autour de vous...efficace, mais moins inspirant!
Bon appétit!
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